réprimé et étouffé sous empire austère de la formule. La formule sévère, hors laquelle il est pas possibie do balbutier des questions, m9 hit son baillon et mo renversa. appris ainsi la troisième leçon: la haine pour homme, la sortie de école, le silence ge fit dans mon coeur. Sans esclavage du nom et de la formule abstraite, je me mis débarrasser la vie des lourds vêtements inutiles qui me avaient cachée.
Pou peu, je me suis réconcilié avec les fleurs; ai lu avec enthousiasme les beaux pagsages des chets oeuvre; ai commencé entrevoir un sens profond des hommes.
Depais ce jour, je me suis réconcilié avec la vio, COSTA RICA Association ENTRAIDE Plus tard, en étudiant art, de nouveau la figure mélancolique de la forme vint me heurter.
Il nous fallut apprendre de longs extraits des oeuvres littéraires des prends meitres, classifiés et cmifiés dans le musée de la bibliographie, et les réciter ensuite froidement en contemplant la mine renfrognée du maitre, dans la creinte du chaticert, et avec la monotonie une voix suppliante. chaque passage, il fallait mettre une formule. Telle chose appartient telle école et fut écrite telle date; est un grand chefd oeuvre. Acte de foi révélé aux hommes par on ne sait qui.
Derrière le nom de école littéraire, derrière inquiétude pour la date ou pour la récitation monotone, je sentais sortir de mes paroles je ne sais quelle révolte ir. cor nue. Ces oeuvres parfaites, recouvertes une formule morte et mises dans étroit compartiment des écoles littéraires, me semblaient, sans que je sache pourquoi, pauvres, misérables et obscures, de cette obscurité que possèdent les choses qui vivent dans ombre. appris ainsi le seconde leçon de enfance: la haine ingénue des chefs oeuvre Et tandis que les vieux profesgeurs et les vieux livres répétaient la formule; mon esprit plus clairvoyant et plus jeune. continuait de clamer sa protestation, Enfin, après de longues, très longues insomnies, nous avons abordé une étude que attendais anxieusement: celle de homme.
Mon cerveau, mes mains, mes yeux, mon coeur même se trouvèrent enfermés dans les nome scientifiques, dans les sévères classifications de la science. appris qu il y avait en moi je ne sais quelle stérile ossature. Je comptai mes vertèbres et mes muscles.
Chaque fraction du corps trouva son numero, son casier, son cetelugue. Je ne sentis amoindri et déçu.
Derrière tout cela, se cachaient des questions plus profondes. Tout le pourquoi insatiable de mon esprit be sentait, une fois de plus, TRAVAUX: Nous disions, dans notre fornier No.
que on était en train abattre 12 Part qui couvrait emplacement sur lechel doit être établi la plantation de caféiers de Entraide.
Ce travail a été fait. Mais, along oi il aurait pas du pleuvoir en janvier, terrier et mars est le contraire qui est produit. Comme il a plu tipperantes reprises, le brulage a été mauvais. Les feuilles et le menu boi, furent détruits par le feu, mais tous les tronce, même ceux de moyenng groaseur sont restés, rendant impossible, pour le moment, établissement me plantation perdanante. quatro ou cing, nous aurions déblaver une partie du terrain, de façon pouvoir planter mille plants au moins deux il ne fallait pas y songer. Pour que les frais abattage ne soient pas perdus, une seule chose restait a patro: le prendre notre cher89, Pablo et moi, ot sover du riz pour nous rembourser. est ce que nous avons fait. été prochain, et avec aide des nouveaux colons qui doivent venir. 1029 nous occuperons du déblayago et nous planterons tout ce que nous pourrons. est donc un an de retard. Ceci est regrettable