ESSAIS AOTUIIS PROPRIETES CURATIVES de la SEVE du BANANIER Au Mezigue Nous avons parlé, plusieurs fois, de la ten to faite par quelques camarades pour fonder au iezique une colonie qui occuperait élevage.
Malgré agitation politique qui se produit 93 be moment dans ce pays au sujet de la ques618 religieuse, ces camarades améliorent leur existence. Un nouveau couple doit prochainement 18g rejoindre. Ils ont construit une maison, Piafres et terre, avec toit cimenté au lieu du teit en chaume que les poules abimaient. Ils ont intention de entourer de murs, pour empêcher entrer les animaux domestiques. tuellement, ils possèdent plusieurs dizaines de porcs de la vente desquels ils pensent Fermer un troupeau de vaches. Du produit de ce Fougeau, ils en retireront tous leurs moyens diexistence. Pour instant, ils ont cinq vathes, deux génisses et trois veaux; en dehors de res vaches qu ils gardent près eux pour les braire, ces animaux vivant en toute liberté et Sort seulement visités deux fois par semaine. et réduction de travail.
Les chèvres ont quelque peu souffert cet hiV Fi elles ont beaucoup maigri, et de soixante Qabris, il en reste plus qu une dizaine. Ceci par buite de imprudence du berger.
Les amis vivent de laitage, oeufs, de jambong et de légumes.
Peur informations supplémentaires, écrire à: Alfredo Sors, Lista de Correos, Vicente Guerrero Letade de Durango, Mexique. Correspondance en français, anglais, espagnol. Joindre un couponrépekşe international toutes les demandes de pekeeignements.
Une des merveilles de la flore tropicale est appelée révolutionner la médecine. Il agit du bananier connu sous le nom de musa paradisiaca.
Le gève de ce bananier, si commun dans toute Amérique tropicale, est antidote une des plus terribles maladies dont souffre humanité: la tuberculose pulmonaire.
Quelques essais pratiques faits par le Dr.
Montero de Silva, du Brésil, furent publiés dans le Mensajero de Sao Paolo de Rio de Janeiro.
Il nous fit connaitre quelques expériences faites, avec plein succès, sur un assez grand nombre de tuberculeux. Sa laçon administrer la gève, est diplérente de la mienne. illustre praticion nous dit qu il a obtenu, par sa méthode, 70 pour cent de guérisons parfaites chez des tuberculeux au second degré.
Pour moi, satisfait des résultats obtenus, et désireux de collaborer de toutes mes forces pour humanité, ai fait tout mon possible pour continuer mes expériences, et je dois dire que celles ci furent faites avec plein succès.
La gève du musa paradisiaca est, sinon exterminateur absolu du bacille de Koch, du moins un de ses destructeurs, comme cela est clairement prouvé.
Il y a quelques temps, eus occasion de soigner une malade qui présentait tous les signes de la tuberculose pulmonaire. Elle toussait constamment et crachait beaucoup; elle avait des sueurs nocturnes ainsi que de la fidvre; était une maigreur extrême et son poids diminuait progressivement.
Plusieurs médecins avaient soignée, utilisant tous les moyens scientifiques connus, mais sans obtenir amélioration. un commun accord, les docteurs déclarèrent qu il agissait un cas incurable et ils lui dirent de retourner dans son village, pengant sans doute que idée de la mort lui paraitrait ainsi moins triste. est dans ces circonstances que en pris soin. Son cas me permit de contrôler, une fois de plus, la valeur de la sève du bananier. L. COIN dea COLONS PF, DUBOIS: Graines arrivées en bon état.
lavenir, he recommande pas car ils vont fort la pestes pour les petites graines, tu peux 1es envoyer dans une lettre. Merci.
BORG, NEBT vous ai envoyé graines de barbadine. Regut tropicalement,