2 Segar OR ET ARGENT COME WALONS DE VALIKOR Par Lysander Spooner III Si nous reconnaissons maintenant comme établi, que la valeur exacte et naturello dos pidces or et argent, en tant que monnaie, ost absolument fixée et limitée par leur valeur métallique, et que celle ci est la seule qui permette de les prendre comme étalons pour mesurer la valeur des choses, nous arrivons une autre proposition; soit: Que usage ou la mise en circulation une quantité quelconque do papiermonnaie ne peut aucunement abaisser la valeur des pièces de monnaie au dessous de leur valeur métallique, ni, par conséquent, diminuer leur valeur comme étalons.
Il est clair que le papier. a ni ce pouvoir, ni cette tendance, puisqu il entre pas en concurrence avec les pièces, pour aucun des usages qui leur donnent leur valeur. On ne peut pas employer le papier pour fabriquer des montres, des bijoux, etc. où il en suit que lo papier ne peut pas concurrencer les pièces pour ces usages. Il ne peut donc pas, par conséquent diminuer leur valeur pour ces usages ou diminuer leur valeur comme étalons.
Si les pièces avaient jamais servi comme monnaie, elles auraient la même valeur exacte et naturelle qu elles ont actuellement. Leur usage ou leur circulation comme monnaie ajoute rien leur valeur métallique exacte et naturolie, pas plus que le fait de les retirer de la circuiation, comme monnaie, en diminuerait cette valeur. Leur valeur exacte et naturelle comme étalons de valeur reste donc la même.
Tout dollar représenté par un bien quelconque ayant cette valeur un dollar, a absolument la même valeur marchande exacte et naturelle qu une pièce de monnaie un dollar. Et si chacun de ces dollars était acheté ou vondu come monnaie, en concurrence avec les pidcos, la valeur marchande exacte et naturelle de celles ci en sorait pas abaissés pour cela puisque leur Le Sonour valeur métallique serait semblable. Les pièces et les biens seraient achetés et vendus comme monnaie, selon la valeur exacte et naturelle qu ils possèdent pour leurs différents usages.
En un mot, aucun eux ne peut valoir plus du fait qu on utilise comme monnaie.
Il est évident que tous les biens en ezistence dans le monde et susceptibles de se vendre ne peuvent pas se couper en morceaux, afin qu on puisse les mettre dans la poche et de façon que chaque morceau ait la valeur marchande, exacte et naturelle, une monnaie courante un dollar. Mais il est non seulement théoriquement possible, mais aussi effectivement pratique, de représenter par des contrats sur papier, tels que billets, traites, lettres de change, etc. la valeur de la presque totalité de ces biens, et ces contrats auront sur le marché, en tant que monnaie, non seulement le cours de la monnaie courante, mais ils seront préférés celleci On préférera ces contrats aux pièces, non seulement parce qu ils sont plus pratiques que celles ci, mais aussi parce que leur nombre en sera plus grand.
On peut avoir cent fois plus de dollars en papier que de dollars en or ou en argent.
Malgré cela, chacun de ces dollars papier aura la même valeur marchande que les pièces, il représente un bien quelconque valant in dollar, bien que on peut donner en remboursement du papier, ou en disposer autrement pour en assurer le remboursement.
Tout papier golvable pouvant circuler comme monnaie, que ce soit un biliet, une traite, lettre de change, etc. représente un bien existant quelque part. bien qui est gardé légalem nt pour le paiement ou le remboursement du papier et que on peut exiger pour se rembourser, ou en disposer autrement pour assurer le remboursement. Si chaque dollar, de bien, était représenté sur le marché par un contrat écrit, etipulant la remise de co bion, gur domande, on remboursement du papier qui lo représente, bonde aurait alors une sommo do monnaio égale