Working Class

Projet de programme de revendications immediates 1924 07 26 350. 000. 000 de dollars, monnaie nationale.
Le nombre entreprises était en 1914: Tucuman 30, Jujuy 3, Salta 2, Santa Fe 2, Corrientes 2, Formosa 1, Chaco Total 42.
Aussi long temps que cette industrie suffisait peine couvrir la demande du marché intérieur, elle ava it pas se préoccuper un excédent et les convections étaient inutiles. Ce est pas hors qu en 1895 on dépassa les besoins de la consommation normale, qu on pensa la trustification. Ce fut en 1895 que se forma Uni on Sucrière Argentine qui, ensemble avec la Raffinerie Argentine et sous la forme une société anonyme, avec des capitaux fournis par les fabricants et les commerçants de sucre, conclut des conventions. Union Sucrière exporta les récoltées de 1895 1901. En 1901 elle se liquida. Depuis ce temps, des conventions a toujours été conclu, chaque fois que de grandes quantités de sucre avaient été produites. Ces con ventions avaient pour but de fixer les prix pour le marché intérieur et de entendre pour exportation.
La Raffinerie Argentine, qui a procuré tant argent a industrie, régné jusqu aujourd hui le marché du sucre. Ensemble avec la Raffinerie Argentine, il y différentes maisons qui font le commerce du sucre, qui sont encore plus fortes et qui sont aujourd hui liées avec les meilleures e ntreprises de Tucuman grâce la monopolisation de ce commerce.
Pour se rendre compte de la grandeur de cette industrie, il suffit de dire qu elle paie annuellement 12 millions de dollars argentins. Aux chemins de fer pour le transport de ses produits.
Le prolétariat de industrie sucrière Il a deux couches fondamentalement distinctes dans le prolétaria de industrie sucrière: 1) ouvrier indus triel: mécanicien, meunier, etc travaillant dans entreprise. 2) Le travailleur des champs, indien ou créole, qui constitue la totalité des ouvriers de cette branche.
La condition des ouvriers industriels est sous tous les rapports meilleure que celle du second, sans cependant que les premiers se trouvent dans les mêmes conditions que le prolétariat des villes. est sur le travailleur de la plantation, indien ou créole, que nous devons particulièrement notre attention, vu les misérables conditions existence où il se trouve, exploitation dont il est objet et le caractère soumis de son tempérament. Hommes, femmes et enfants travaillent du lever jusqu ou coucher du soleil, de h, 30 jusqu a 17 heures. Pour chaque ériode, il y a 4000 hommes, 4000 femmes et 2000 enfants. Les créoles vien