BourgeoisieDemocracySocial Democracy

Projet de programme de revendications immediates 1924 07 26 La classe dominante des gros propriéta ires et la bourgeoisie industrielle possèdent la presque totalité des terres, occupant Etat en troisième classe.
En général, les propriétaires fonciers possèdent des établissements industriels pour transformer les produits agricoles comme unique propriét aire.
Son intervention sur le marché terme et la Bourse pour la hausse ou la baisse des prix, est directe. Un facteur important y entre en considération: impérialisme. Des entreprises impérialistes tells que la Bunge Born Ltda qui possédé des colonies, des fermes, des moulins, des fabriques, de bois etc dans toute la zone agricole, démontrent la concentration de la production et du capital.
La récolte du petit producteur, du producteur autonome jusqu en bas, est complétement absorbée par les grand es maisons de céréales des capitaux étrangers: Yankee; Cereal Machine Cie, Pampa Grain, des maisons qui se chargent du commerce de machine et qui achètent le blé, qui sont propri étaires de moulins; des maisons européennes: Dreyfus et Cie, Bunge y Born Ltda, Bergman y Cie, Moulins de farine de Rio de la Plata, etc Ce sont les grands fournisseurs de blé, des marchés national et mondial.
La production nationale de céréales est soumise aux manouvres réalisées par le marche terme, par les impérialistes et les gros propriétaires fonciers unis, pour fixer arbitrairement les prix de produits auxquels les fermiers et les producteurs autonomes se voient obligés de vendre, pour pouvoir remplir les stipulations de leurs contrats de fermage, pour pouvoir acheter le instruments de travail, les semailles, les moyens de subsistance, etc En face de cette réalité, les partis bourgeois ont toujours tenu profiter des besoins des masses paysannes, en leur proposant des moyens pratiques tels que: baisse du fret, loi de colonisation, fixation de prix pour la vente de la récolte, baisse des prix de location de champs, meilleures conditions pour le travailleur, etc etc en échange de son concours politique.
La politique agraire social démocratique tend conquérir ses masse par les mots ordre suivants: 1) abolition des impôts qui grèvent la production agricole et élevage; 2) abolition de la contribution directe pour la petite propriété rurale; 3) indemnisation des fermiers; 4) réglementation hygi énique du travail agricole; 5) obligations de donner aux travailleurs un logis hygiénique.
Ainsi qu on peut remarquer, la politique agraire de la social démocratie ne différé qu par son aspect formel de celle des partis bourgeois. Elle se bonne la simple promesse de réformes sociales, sans donner une contenu révolutionnaire ses revendications, en laissant de côté aussi le problème impérialiste et la nécessité engager la lutte contre impérialisme.