Informe de Vittorio Codovilla a la Comisión colonial de la IC 1926 11 09 ment révolutionnaire dans les autres pays pour nous soutenir. est cela que cherche faire le Mexique qui, pour Amérique du Sud, représente plus ou moins ce que représente la Russie aux yeux de Europe.
Le président Calles a déjà compris cela, et il a pplique maintenant la même méthode que nous avons appliqués en Russie, est dire inviter les délégations ouvrières et des intellectuels pour visiter Mexique. Les sociale démocrates de Amérique du Sur parlent déjà de gouvernement du Mexique comme u gouvernement qui applique les principes socialistes.
Comme ils savent que la masse ouvrière et paysanne, en général, dans les pays de Amérique Latine une grande sympathie pour Union Soviétique es parlant di Mexique, ils ne parlent pas contre la Ru ssie. est ainsi qu ils cherchait a détourner attention des ouvriers de la Russie, en disant. Nous ne nions pas qu en Russie on cherche a établir le socialisme, mais regardes un peu le Mexique. sans nécessité de violence et de dictature comment elle établit quand même le socialisme. autre part, la Fédération Américaine du Travail commence comprendre importance révolutionnaire des pays Amérique latine et les dangers que ceci représente pour impérialisme américain. Contre cela, elle cherche détourner les ouvriers de la lutte révolutionnaire en faisant une propagande en faveur une Fédération panaméricaine qui resteras sous son influence.
Dans ce but, elle a envoyé dernièrement une délégation aux pays de Amérique du Sud. Nous pouvons nous mettre accord, le grand pays industriel du Nord et les pays agricoles du Sud pour augmenter le bien être de la classe ouvrière et des paysans de tout le continent américain. Telle est sa plate forme.
Original escrito a máquina, en francés 495 79 12, 34.