Informe de Vittorio Codovilla a la Comisión colonial de la IC 1926 11 09 En Argentine, ai déjà signalé que dans certaines régions agricoles existe une exploitation intensive modernes. Tandis que dans les régions du sud et du nord, est encore la forme exploitation primitive qui existe.
Au Brésil, il y a encore des régions comme Amazones qui sont presque inexplorées. Ces régions sont très riches, et dans avenir, elles donneront une grande quantité de matières premières. Là bas il y a des régions où vivent encore des animaux sauvages comme dans les forêts de Afrique. Le gouvernement déporte là bas les révolutionnaires. ils y meurent de faim ou sont dévorés par les bêtes féroces.
Dans Amérique Centrale, il existe des partis nationalistes. Po rtoRico, aux Antilles, ce sont des partis nationalistes qui réunissent les léments révolutionnaires pour latter pour indépendance définitive de ces pays qui sont, en fait, des colonies. Ces pays veulent annuler toutes les dettes provenant des emprunts l Amérique du Nord, ils veulent la révision des concessions faites a impé rialisme américain. Or, les partis nationalistes dans ces pays sont des partis petite bourgeoisie et des ouvriers industriels. Il y a des organisations ouvrières mutualistes qui sont sous influence de la Fédération Américaine du Travail.
Au Venezuela, cela est pas possible organiser des partis opposés au gouvernement, même ils sont des partis de la bourgeoisie, parce que le gouvernement réactionnaire ne permet aucune liberté action. Les groupes révolutionnaires qui existent sont l étranger, et pécialement en Mexique.
Au Pérou, en Bolivie, les indigènes ne sont pas organisés une façon centralisée, mais ils ont cat une forme organisation primitive. Aupar avant ils travaillaient en commun la terre, et cause de cela organisent sur la base de la commune agraire. Ils veulent revenir a cette forme explicitation collective de la terre, mais chaque jour ils sont expulsés plus loin par les entreprises étrangères qui accaparent toutes les zones minières. Une partie de ces paysans vivent comme des isolés, de élevage du bétail, etc.
En ce qui concerne le mouvement communiste et les perspectives de travail futur, il agit surtout de donner au mouvement de toute Amérique le caractère un mouvement continental, qui devra avoir comme base de travail action dans les différents pays. Par exemple, si un mouvement révolutionnaire éclate dans un pays, tous les autres devront le soutenir. tout mouvement serait impossible sans appui des autres pays. le mouvement serait aussitôt écrasé par impériali sme nord américain. Si nous aboutissons a organisation effective dans tous les pays de Amérique atine un grand parti de la masse ouvrière et paysanne, alors une intervention de impérialisme américain sera impossible, parce que nous aurons le mouve