BourgeoisieCommunismCommunist PartyDemocracySocial Democracy

Informe de Vittorio Codovilla a la Comisión colonial de la IC 1926 11 09 Mais, malgré les illusions de la petite bourgeois ie et de la bourgeoisie industrielle, la pénétration impérialiste se poursuit dans toutes les branches de activité économique, et les soumets chaque jour davantage son contrôle.
Cela pousse la concentration et la modernisation des entreprises industrielles et agricoles, et entraine la paupérisation une partie de la petite bourgeoisie, la chômage, la baisse des salaires, etc. et su moyen de accaparement des grandes étendues de terre, pousse la prolétarisation des paysans.
Dans la quatrième caté gorie, nous pouvons placer le Mexique, où le gouvernement petit bourgeois, malgré les contradictions intérieures et ext érieures dans les quelles il se trouve, vise l indépendance économique et politique du pays. Dans un certain sens, nous pouvons dire qu e la situation actuelle au Mexique est plus ou moins la même que celle de la Russie après la révolution de Kerensky. Un gouvernement social démocrate qui, ayant peur être dépassé par la révolution prolétarienne, appuie encore sur les él éments capitalistes qui, battus sur le terrain de la lutte armés, par les révolutionnaires, cherche rétablir sa situation économique en accordant avec le gouvernement. Il est clair que si nous avions eu au Mexique un Parti Communiste comme nous avons eu en Russie, es conditions objectives de ce pays auraient été très favorables pour établissement un gouvernement soviétise. car les ouvriers et les paysans conservent depuis le commencement de la révolution qui a donner le pouvoir la social démocratie, le même esprit révolutionnaire de classe. Les paysans qui ont lutté pour conquérir la terre veulent vraiment obtenir, et dans certains cas ils ont procédé la confiscation directe sans indemnisation.
Or, dans le processus du développement révolutionnaire des mas ses ouvrières et paysannes, la pénétration de impérialisme joue un rôle très important. Dans des pays comme Venezuela, Bolivie, Colombie, Pérou, etc. autrefois les paysans vivaient une façon plus ou moins primitive, mais tranquillement. ils vivaient des produits naturels, de élevage du bétail, etc.
Il y avait aucun règlement pour la propriété des terres. ils en étaient tout naturellement propriétaires. Au fur et mesure que impérialisme américain a pénétré dans ces terres qui lui étaient donné es en concessions, les paysans ont été expulsés et. Pour vivre, ils ont dû engager comme salariés dans les entreprises impérialistes. Par suite de cette pénétration, la différenciation des classes accentue chaque jour. Des quantités de paysans sont eng agés dans les exploitations minières et dans les industries, autres sont salariés dans les entreprises agricoles. Etant donné la forme exploitation de ces grandes entreprises, ces nouvelles couches prolétariennes sont concentrées dans les