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Carta de Manuel Díaz Ramírez al Secretariado Latinoamericano de la Komintern 1928 00 00 Mexique sous influence communiste; et que, par contre, le fait de précipiter cette tache aboutirait a la peille totale ou partielle du travail tenace accompli parle Parti en faveur de unite syndicale dans différents pays.
Ce fut précisément dans cette voie que on est engage, en appuyant sur la «destruction» de la CROM et sur imminence un soulèvement arme. Ce dernier point, personne ne a nie, bien que la délégation de Profintern ait au début émis des doutes contre opinion générale du en ce qui concerne le premier point ai explique le complexe de la situation et ensemble des circonstances, reconnaissant ainsi la faiblesse du du Parti pour opposer a la Constitution précipitée de la nouvelle Centrale qui apparemment rendait impérieuse la situation du moment.
Mais maintenant, la nouvelle Centrale organise, alors qu il y a pas excuse de pouvoir qualifier de sabotage du Parti la politique de la délégation de Profintern, opposition a ses décisions, circonstance qui certainement a influe fortement pour que on ne oppose pas a la constitution précipitée de la nouvelle Centrale, maintenant on procède en complet désaccord avec les résolutions du du Parti.
Et comme cette manière de procéder devient déjà une chose naturelle dans la politique de Profintern en Amérique Latine, et mérite être appelée un péril pour hégémonie de nos partis, le soussigne se permit appeler attention du secrétariat sur les faits suivants: arrivée de délègues non ouvriers ni organisées au IV e Congres de Profintern et ayant rien de commun avec la vie et la lutte de classe des travailleurs; La pression exercée sur les membres de notre Parti pour qu ils travaillent en faveur de la nouvelle Centrale Syndicale bien que, pour cela, ils doivent travailleur par dessus la ligue tracée par le Parti en accord avec les directives du Comintern. Les qualificatifs injustes appliques notre parti cherchant a le ridiculiser par des moqueries qui ont pas de raison être, alors que les faits sur lesquels sont fondes ces moqueries ont pas de base mais ont comme origine la résistance a la création prématuré une Troisième Centrale Syndicale. Le fait de tirer avantage en employant es moyens économiques (la représentation de Profintern a dépense eh moins de six mois au Mexique presque autant que les frais supportes par le Parti pour son travail une année. pour faire pression et arriver a ce que on puisse délibérément commettre la stupidité de réclamer ouvertement de argent par un télégramme adresse a Moscou, a Profintern ce qui certainement aurait pu survenir par