AnarchismBourgeoisieWorking Class

Carta de Garlandi a Rústico 1930 07 04 pendant que le mouvement de masse augmente (en 1929 1930, beaucoup de grèves intéressant des dizaines de milliers ouvriers ont été déclenchées. grève des cheminote déclanchée contre la volonté de leurs chefs réformistes grève de Jujuy (champs de pétrole) qui fut utilisée par les anarchistes, grève des frigorifiques) et tandis que la radicalisation des masses se démontre par des signes très évidente.
Est ce que ont événement a pas importance. Evidemment il a une grande importance. Mais le contre du Parti a essayé de glisser devant le devoir de poser devant le parti, une façon brutale échec électorale, comme une occasion opportune, pour ouvrir une campagne autocritique tous les échelons, et dont il aurait du lui même donner exemple. Qu est ce qui est passé au contraire. Le lendemain de échec électoral, organe central du parti a publié un leader électoral très modeste (même le titre a vait été fait par les caractères typographiques exception, pendant que les typographies argentines et de AL possèdent, comme on le sait, des types bien remarquables. pour dire que la cause de ça modeste votation est dans le fait que la petite bourgeoisie qui coquetait avec le prolétariat est éloignée de lui. et que les résultats des élections sont la confirmation une forte radicalisation des masses, parce que les masses ont voté contre Irigoyen bien que pour les socialistes. Les conséquences ogiques de cette façon expliquer la défaite électorale sont très intéressantes et originales. La première entre toutes est que la bolchévisation de PCA a eu comme conséquence un rétrécissement et un arrêt de influence du Parti parmi les masses ouvrières et travailleuses. Le parti a perdu la petite bourgeoisie et a pas gagné les ouvriers. La seconde est que échec électoral est une victoire le Parti.
Dans la manque une critique approfondie de toute les politique du Parti, de la part du CC, la réunion autocritique du parti, de la part du CC, la réunion autocritique du Parti de Buenos Aires a été celle qui devait être. une recherche sans grands résultats des causes. techniques. de la défaite. peu de camarades (en particulier les jeune s) ont touché quelques problèmes plus importants et les causes plus profondes de la défaite les autres ont tourné sur le carrousel des petites responsabilité.
Mais il suffit de constater comment le CC a pris position dans la lutte électorale pour comprendre impossibilité pour notre Parti de accrocher aux masses. Le parti a pas donné des mots ordre intéressants les ouvriers et les masses travailleuses de Argentine. Du peu que nous connaissons nous pourrons déjà trouver où sont certaines causes de la défaite électorale du PCA. Avant tout quelle est notre position dans les fabriques, dans les