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Carta de Garlandi a Rústico 1930 07 04 (et maintes fois est tue complètement) sur quelques problèmes très importants de la lutte révolutionnaire dans AL, mais elle a fourni sans doute des expériences très précieuse pour le développement ultérieur de notre travail.
La lettre ouverte a tenu compte des nombreuses faiblesses idéologiques et politiques révèles par la conférence de Buenos Aires, mais elle a pas donné aux camarades des directives concrètes sur la façon de marcher la conquête de la majorité du prolétariat dans AL et sur la façon de marcher vers la conquête des masses décisives de la paysannerie.
Cette ligne politique devait ressorti de la critique du travail des partis communistes de AL pendant les dernières années, et surtout depuis le VI e Congrès, après avoir vérifié la justesse de analyse du développement de la crise économique politique et de la radicalisation des masses do nnée par IC. Cette vérification était très facile pour AL où la crise est co mmencée depuis longtemps, où nombreux pays sont prés une situation révolutionnaire et dans quelques cas y sont déjà, où les mouvements de masse pendant année 1929 ont été très nombreux, ont entrainé des centaines de milliers de travailleurs et dans beaucoup de cas ont eu un caractère révolutionnaire prononcé. Il était absolument nécessaire de critiquer le rôle de nos partis dans les différents mouvements de masses. avant tout analyser devant tous les camarades de AL expérience mexicaine, qui constitue un exemple très précieux pour eux et qui, jusqu aujourd hui a pas été utilisée comme il conviendrait, on devrait étudier les expériences colombiennes, énézuélienne, brésilienne, argentine, uruguayenne, chilienne, etc Ces exp ériences nous disent non seulement que nos partis dans AL sont encore en général un bloc de plusieurs classes, qui sont en grande partie la remorque de la petite bourgeoisie, qui on pas une idéologie prolétarienne etc. elles nous disent encore que nous avons pas de positions solides dans les usines, dans les mines et dans les plantations, dans les transports et les docks, que nos liaisons politiques et organiques avec la campag ne (prolétariat agricole, paysannerie pauvre. existent pas ou sont extrêmement faibles, que nous no savons pas en général, mener les luttes pour les revendications immédiates, quotidiennes des ouvriers industriels et agricoles que nous ne savons pas placer comme les seuls défenseurs et le seul guide des paysans qui veulent lutter pour leurs revendications, que nous ne savons pas encore travailler dans les usines et dans les syndicats réformistes et anarcho syndicalistes pour conquérir les masses et no us mettre leurs tête pour détruire influence que les anarcho syndicalistes ont encore sur des larges couches de travailleurs, pour organiser les inorganisés, pour entrainer les centaines de milliers de chômeurs, etc. Les luttes de masses de année