O APP.
A: Ph. Dawa Forcés peuvent être pari que ce qui comptait, était cecie cinq années de travaux Populaire pour rentrer en Italie. ailleurs ce sujet on nous permettra de relater que Germanetto, auquel sa stupidité indécroitable fera toujours commettre des gaffes de premier ordre, écrivit lorsqu il fut contraint de donner une explication du départ de Petrini de la Russie, que le gouvernement socialiste. a remis entre les mains de Italie, parce qu il agissait un mouchard. On peut en conclure que lorsqu il agira un véritable provocateur et non un ouvrier révolutionnaire, le cen.
trisne hésitera pas lui faciliter le retour en Italie, sans doute pour qu il puisse.
continuer son travail.
Aux chefs du qui font preuve une irresponsabilité criminelle lorsqu il agit de prolétaires conimunistes nous voulons cependant opposer une position responsable qui permettra une meilleure défense du prolétariat envers son ennemi de classe et ses agents, Non. Nous ne les sulurons pas en préconisant que la lutte politique doit se résoudre en gestes individuels. Bien qu ils soient les seuls responsables de ces gestes, nous continuerons affirmer que est uniquement sur la base, de la lutte des classes que la victoire peut être obtenue, aussi bien pour ce qui concerne la libération du camp prolétarien des professionnels de infamie. Nous avons défendu Beiso parce que nous entendons pas nous reporter des critères de moTale (ce sont ces critères de morale qui feront absoudre les policiers assassinant des prolétaires ou inversement condamner des ouvriers qui oseraient défendre leurs inte réfs ou leur vie) pour juger des problèmes qui surgissent de la lutte politiqae. Et encore aujourd hui nous ne cesserons de clamer aux ouvriers qu ils ont mettre fout en cuvre pour que Berso soit rapidement libere, Tous les moyens ont été bons pour obtenir la condamnation de Beiso. Ils ont abandonné accusation de provocateur. mis en vedette la veuve et Porphelin. ils ont fait appel aux sertiments les plus neſtement bourgeois du Jury en présentent Thonnète Montanari comme la bannière un parti qul assagit. au son de la. Mar.
seillaises. Sans pudeur aucune, ils ont poussé ces sentiments bas jusqu a exaspération absurde, cynique et ridicule quand ils ont présenté Belso comme menaçant application des sanctions a agresseur fasciste. Tout, mais absolument tout fut fait pour que les proletaires comprennent que essentiel (le journal centriste dira que le verdict ne dépend pas du cas en examen) est pas de voir il agissalt ou non un provocateur, mais par celal qui ne se résigne etre appelé agent fascistė quand il dénonce la masse une politique qui a incorporé au capitalisme des partis qul furent créés pour la victoire révolutionnaire.
Le meme soir ou fut prononcé la sentence, Belso, écriuit une lettre qui est un document de profonde hamanite. Moment pathétique de la tragédie un esprit gul se reprend en une résignation tranquille. Il est content de la peine et ne veut pas recourir aux moyens légaux pour accrocher une revision procès ou pour obtenir une amnistie, 11 Invite les journaux opposition communistes de pas continuer la polémique autour de son cas. Belso veut partit. de suite et sereinement parce que même si la condamnation avait été plus grape il lui suffit que accusation fut contrainte abandonner sa tentative de le faire passer pour un provocatetico Mais nous ne pouvons accepter son invitation, nous avons le devole de con tinuer parler de lui parce que son cas Interesse le proletarlát entier. Le procés a eu une signification politique que nous ne pouvons faire que nous ne pouvons ettre aux archives.
Le proletariat abandonnera pas Beiso. Celul ct est pas membre de notre faction, mais cela ne signifie en aucun cas que nous ne ferons pas tout ce qu il est pssible de faire pour que les ouvriers oublient pas et pour qu il soik libere.
Et cast ensuite que ce sera Beiso de prouver que sur la base de la théorie raciste, il entend rester un soldat fidèle de la révolution communiste mondiale. 0 int