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raugin pique en débutant par les usines avions. est qu il agit 1015. le prépare avènement des Soviets avec ses comités de Front Populaire. Mais dans cette atmosphere idyllique une seule note discordante. les menaces de conflits de salaires de prolétalres fassés des promesses «d humanisation. des décrets lois. grand peine la avait liquidé la menace une grève générale des mineurs du Pas de Calais, menace qui pouvait tomber comme un pavé dans une mare entre les deux tours électoreux. Après la victoire du Front Populaire des mouvements se determinent progressivement jusqu embrasser ces derniers temps ensemble de la région parisienne. Un journaliste belge a fait remarquer très justement que les mouve ments en France se sont déclenchés un peu sur le type des grèves de mai 1936 en Belgque; en dehors et contre les syndicats, en somme comme des mouvements. sau vages. Le caractère même de ces grèves, occupation des usines, qui est en rien.
comparable ce qui est passé en Italie, est identique l occupation des pults par les minecrs de Charleroi. Ic comme lå la première préoccupation des dirigeants synth dicaux et socialistes est de faire cesser les mouvements qui compromettent leurs posia fions gouvernementales.
Dès le 11 mail des grèves éclatent au Havre et Toulouse dans des usines aviation où les ouvriers font la grève dans asine et obtiennent satisfaction pour ce qui est de la reconnaissance des délégués syndicaux par les patrons et le réerigage.
ment ouvriers licenciés pour avoir manifesté le 1er mel. gartir du 14 mai, le mouvement atteint la région parisienne: est Courbe voie, où les ouvriers font la grève dans usine et arrachent 25 ft. augmentation ef: un contrat collectif de six mots. Cest a Villacoublay ou les ouvriers obtlennent des vacances payées, puis Issy les Moulineaux, a Neuitty, Genevilliers.
Partout les mouvements se déclenchent en dehors de foute interventón des syridicats, spontanément, et acquièrent tous le même caractère des grèves au sein de usine.
enements Le jeudi 28 mai, est enfin la grève chez Renault, od 32, 000 odvrlers.
tent en branle. Le vendredi et samedi les entreprises métallurgiques de la Seine en trent dans le mouvemnt.
Ce est pas par hasard que ces grandes grèves se déclencherit dans industrie secteurs qui aujourd hui plein rendement, du fait même de la politique de réarmimenet, suivie dans tous les pays: Ce fait ressent par les ouvriers fale qu ils ont da déclana cher leurs mouvements pour diminuer le rythme abrutissent de la chainej améliorer leurs salaires; obtenir un contrat collectif de travail et la reconnaissance des dicats par le patronat: des vacances payées, sur la base une intensification du travail en métallurgie qui se fait en fonction de la guerre. est donc la un paradoxe douloureux dont les ouvrlers ne sont pas responsables mais qul revient aux forces du capitalisme qui ont réduit les travailleurs cette situation.
Mais, des samedi, une détente se manifeste, un accord Intervient chez Renault eu moment où des usines sont peine touchées par le mouvement et que le nombre des grévistes restant élève approximativement: 480, 000: Il est certain que la G fera impossible pour arrêter extension du mouvement et le liquider au plus vite.
Chez Renault qui fit axe du conflit daris la région parisienne, les ouvriers obtiennent une promesse examen dens. le délai le plus court du relèvement des salaires en dessous de fr. comblen sont its chez Renault. une demi journée de grève payée; aucune sanction pour fait de grève; la reconnalssance du syndicat des métaux au travers de élaboration un contrat collectif au sujet duquel des pour parlers auront lieu entre ouvriers et pafrons. Dans des entreprises moins importantes (Gennevilliers. 15. 000 ouvriers) le succès est réel, car les proletalres obtiennent If 50 fr. augmentation, la reconnaissance des délégués atelier, les heures de gre ves payées et des vacances payées. Dans presque toutes les petites. entreprises te mes sym 11.