AnarchismSyndicalism

1008 1009 Convergence de nos espoirs, nous ne voulons pas qu elle soit anéantie dans la tourmente.
Car nous savons qu un jour. viendra, quand les peuples lui auront fait plus de confiance et auront assuré sa force, où elle constituera unique sauvegarde de la Paix et de la Civilisation.
Dans un article intitulé. Malédiction. la Bataille Syndicaliste ne maudit pas la guerre en général mals empereur Autriche nommément. Cette malédiction inprévue arrive en dernière ligne de article.
MALEDICTION Des pleurs. Des pleurs. Des pleurs. Une pluie de larmes est tombée sur la ville. est la mobilisation générale Que le crime monstrueux qui va plonger toute Europe dans la barbarie, dans abîme des deuils et dans la ruine solt pund.
Que des trônes solent renversés, que des couronnes se brisent!
La volonté des peuples a été violentée, est impérialisme criminel qui déchaine la tourmente,. Mais il faut que la catastrophe soit inévitable, si la force de paix des travailleurs a été qu un digne mais vain sursaut pour sauver honneur, oh alors, que de étendue même du malheur consommé surgisse anéantissemene du militarisme étouffant Que ce soit la An di cauchemar!
Et que le nom du viell einpereur François Joseph solt maudit!
Durant toute la journée du dimanche, les mobilisés du premier jour se sont mis en route pour rejoindre leur corps. Pendant ce temps, les gens de arriére sans doute pour se faire la main; saccageaient les boutiques. boches. et se livralent aussi; par pat là, la «chasse aux espions. Le Comité confédéral tint une brève séance au début de après midi. La Bataille Syndicaliste du lundi en dit zien. Le leader, intitulé. irréparable. est signé irréparable est maintenant accompli.
La guerre européenne est déchainée. cela, esprit se refuse encore croire.
Et pourtant, elle est que trop yrale, cette catastrophe. qui bouleverse notie vie et nos esprits, ramène en arrière notre sentiment du devolt, le rattache des conceptons que nous voulions effacer, peut compromettre toutes nos espérances, anéantir tous les efforts passés, est atroce, est odieux, est incroyable, Mals cela est.
Des discours prononcés aux obsèques de Jaurès, celui de Jouhaux doit ici, ètre seul retenu. La du mercredi août en donne de longs fragments. Jouhaux explique abord pourquoi la classe ouvrlère aimait: Jaurès, puis écrie Aujourd hui, est encore dans nos souvenirs que nous puiserons les forces indispensables. Au nom de ceux qui partent et dont je suis je déclare que ce est pas la haine du peuple allemand qui nous poussera sur les champs de bataille, est la haine de Impérialisme allemand.
Le rédacteur de la chargé du compte rendu ajoute. Les applaudissements éclatent émotion est: a gon comble. On pleure.
Mi Maurice Barrès applaudit avec force et dit un de ses voisins. Très bien! Très bien. Un sénateur, qui fut un ennemi acharné de la écrie. Et dire que voilà des hommes que nous voulions faire emprisonner. Dans la du jeudi août, une nouvelle explication de la guerre est donnée en un article non signé mais publié en bonne place. DU HEURT DE LA LIBERTE QUE LA LIBERTE JAILLISSE. Dans le conflit actuel, la question ethnique a son importance. Les Germains, de sang plus lourd, partant esprit plus soumis et plus résigne, ont pas notre esprit indépendance.
Toutefois, auteur anonyme dira dans sa conclusion que est seulement «ta caste orgueilleuse et féroce. qui doit être vaincue.
Le vendredi août, en un article intitulé. Humanité. Justice1 Ch. Malota recommande le tact aux anarchistes et socialistes étrangers résidant en France, et le discernement au gouvernement qui, un peu au hasard, en a déjà coffré quelques uns, Le août, autre nouvelle recrue, Charles Albert, qui sera licolaborateur régulier et abondant. Voici les passages essentiels de son premier article. PARTEZ, SANS AMERTUME immenses espolis, incalculables espoirs se lèvent sur le monde. Partez, sans amertume, partez sans regret, camarades ouvriers qu on appelle aux frontières pour défendre la terre française.
Partez sans amertume, partez sans arrière pensée, camarades ouvriers, est bien pour la révolution que vous allez combattre.
Et il faut que vous tomblez, tous ceux des võtres qui restent, les jeunes et les vieux, dont heure est pas encore venue mais dont elle viendra. tous vous en font aujourd hui le serment solennel, en même temps qu ils vous donDent le baiser adieu. soldats avancés de la Révolution, ce est pas en valn que vous serez tombés.
Partez sans amertume, partez sans regret, camarades ouvriers, partir du mercredi 12, Jouhaux, qui a rien écrit depuis que la guerre est déclenchée, va donner une série articles importants par les préoccupations et les conceptions qu ils expriment. Les lamentations ne sont plus de mise; on est mainte nant de plain pied dans la guerre; on étudie les problèmes nouveaux qu elle pose.
Le premler de ces articles, celul de ce jour, occupe du chômage considérable qul a surgi spontanément du seul fait de la guerre. Le thème qu il développe, est avant tout que olsiveté est mauvaise conseillère IL FAUT DU TRAVAIL Une des préoccupations majeures de heure présente doit être utile.
Laisser oisiveté régner en maîtresse serait une faute grave. Dans le sesoeuvrement, les esprits inquiètent, se tendent aux moindres bruits, et peuvent se laisser aller aux erreurs passagères mais néanmoins préjudicables.
Si l activité extérieure doit correspondre, la tranquillité intérieure. est qu un facteur susceptible de donner ce résultat. le travail.
Chaque jour, le nombre des chômeurs augmente, 11 serait dangereux de laisser aller ainsi les choses en croyant que toute la question est assures les services, assistance.
Venir en aide la misère est bien; prévenir cette misère par occupation des travailleurs valides est mieux En favorisant la reprise de la production utile, inous créons de la circulaUSUAJ en Ponteved The