CapitalismSocialismWorkers MovementWorking Class

369 nei terrain syndical pour opposer: l attaque de peuvent réaliser que sur le fysiori de la base esale socialisme dans son popce patelin, Cette une procédure archi démocratique. One conclusion:que 368 que le pacte. donne» et lorsque les masses se trouveront bien emprisonnées par centristes. et soclalistes. le moment sera renu pour lancer la réforme de Etat. dont un ayene golt no49 fue donne pas les mesures du ministre Berthod contre les instin tuteurs, Mais bien qu il soit encore trop tôt pour luger des résultats du pacte qui est a longue portée et dont le but est de permettre la victoire du capitalisme dans attaque frontale menée pour anéantir les conqueſes ouvrières, les événements, nous permettènt deja de bien comprendre le signification de accord intervenu entre socialistes ef centristes, Dans le domaine propre e accord, est dire pour ce qui concerne les deux partis, tout a marche merveille. manifestations, meetings, préparation pour les élections cantanales, tout indique que entente est stable et viable. Mais du pacte découlerie que des obligations pour les deux partis qu en ce qui concerne la demagogie des meetings pu des élections. On pourra parler de tout, en dehors une chose des syndicats, des luttes: quelles une action pour leurs revendications de classe, Quelles directiver danneront les deux parties contractantes a leurs membres respectifs pour Agla dans les syndicats. Aucune, Mlur, on leur dorineca ordre de ne jamais lier les questions de classe aux tractation entre les deux parties.
Au Congrès de Eclairage Jouhaux tint un discours dont. Le Populaire. écriult ce fut beau discours. alors que humanité. mit en évidence opposition acharnée de Jouhaux la réalisation de fun! te syndicale. Mais la polémique enteer.
ces deux journaux ne menaceta en rien la développement du pacte conclü: les symis dicats ne pouvant intéresser les deux directions. Seulement la poussée vers unité: des masses se manifeste aussi sur le terrain syndical, et cette poussée G Tet CGT donnent deux réponses radicalement opposées. Avant le pacte, la CGI U avait fait des propositions que nous nous étions empressés de saluer. fusion des deux centrales sur la base un programme de lutte pour les tevendications inmédiates et de classe des ouvriers. Mais il y eut le pacte. Et la CGT, U, au lieu de lufter gour maintenir ses positions au sein de ses aynidicats, comme a Pinterieger des syndicate cégétiştes, estime que la meilleure oondition pour réaliser inite sundicale consiste dans la création un troisième syndicat, LE SYNDICAT, UNE QUE. Que peut représenter la fusion de la base dens telle ou telle localiſé, quand cette fusion, est possible qu en évitant les obstacles, est. dige quand, au lieu agir a intérieur: syndicats existants pour changes Pacjentation des organisa tions ayant une influence syg la situation de ensemble du pays on.
separe en croyant possible nouvelle entrare a unité et en definitfue, un nouveau succès pour la social democratie Interessee, au premier cher entretenir la division syndicale De son côté, la direction de la CGT, a trouvé son procédé pour sityer la pouasee des masses were unité, dans les limites de son en contraste exclusie Aussa mais différentes assises des arganisations que la sont rattachées, les motions contiennent toutes, des conskdérations très favorables a unité, pour arriver, a la cette unité négessite au Congrés de fuston des deux Centrales, après que la fusion se sera réalisée a la base. Jouhaus va jusqu a dire au Congrès de Bolalcage, qu il a pas le droit de parler de la ques tion de unite Gela appartient aux syndicats aux fédérations. Cest dire tout abord, il faut que les syndicats de la CG. u. peintègrent la. maison qu ils ant abandonnee Enstlite, on consacrera cette rentree par un beau congrès, que aplera de fusion. ed od sera maintenue, dans toute son ampleuc, la dictature des Film formitates qut au nom de unite, exclueront tous les militants qui oseront, opposer: une fraction syndicale se basant sur les intérêts révolutionnaires du proletariat. I omnipotence des dirigeants ayant leur disposition tout appareil pour faire tripma pher les intérêts de la contre révolution, Les deux réponses opposées que donnent et T, an problème de unité syndicale se trouvent donc sur le même plan. elles entrayent Tunjte syndicale et; au fond, le Comité de Coordination avait pas tout de se réjouir des résultats pacte, dont le but est de dissoudre les volontes de lutte du prolétariat français dans la confusion pour permettre une expansion totale de la fonction contre revolu tionnaire des centristes et des socialistes, en France comme dans tous les autres peus.
Comment les réformistes belges torpillent les grèves Le lundi 30 juillet, la grève du Textile verviétois était honteusement liquidée par les dirigeants réformistes de la Commission Syndicale de Belgique. Le motif inuoque était impossibilité de trouver des fonds suffisants pour continuer la lutte, autant plus que intransigeance patronale laissait entrevole impossibilité arriver un compromis, Les réformistes avalent considéré cette grève comme une simple compétition commerciale: une part, le patronat qut, après épuisement des stocks se serait trouve dans la nécessite de faire appel aux ouvriers. autre part, le prolétaciat du Textile verviétois soutenu par des indemnités de grève et qui ne serait rentre 24 travait qu après avoir obterte satisfaction. Remarquons, en passanta que même sur.
le lerrain commercial, les reformistes avalent pris soin de ne pas laisser les patrons dans une trop mauvaise posture et pour cela, leur avaient permis de passer leurs commandes dans les fabriques du Sud Flandre et même dans des entreprises filiales des usines veoviétoises. Cette concession était ailleurs nécessaire, car extension du conflit d autres régions aurait oriente la lutte vers la seule direction pouvant offrir une solution la classe ovörière; En effet, enjeu de la lutte de Verviers était annulation des conquêtes de trente années de batailles, La crise ne permettant plus mu capitalisme de tolérer la situation que les travailleurs avaient conquisez le pro blème était ouvertement pase: ou la lutte du proletariat belge tout entier se conceng trait autour des grévistes de Verviers, pw. était abandon de cette lutte a le merci du capitalisme. est évidemment la deuxième solution qu ont choiste les reformistes.
Aussi, notre critique de se bome elle pas l ordre de, levée de la grève, lequello ne pouvait être gagnée sur le terrain de la compétition commerciale, mais a toute la conduite du mouvement, son grientation, ses bases: Les grévistes de Verviers étaient disposés. continuer la lutte, même au risque de xpir diminuer bien plus encore leurs indemnités de grève, mais les réformistes ne pouvaient pas hésiter, car la situation be compliquait cause de échéance prochaine du compromis réalisé avec les patrons charbonniers, Des lars, il fallait rapidement réagir. les dirigeants réformisſes sentant bien qu il aurait été très difficile de maintenir dans les cadres de la Constitution belge les mouvements des mineurs et des ouvriers du textile (le dernier Congrés de La Commission Syridicale a pxoclame que le mouvement ouvrier dot se développer dans les limites de la Constitution) ont donné ordre de la rentrée. Après la ule foire de patronat de Verviers, les batans de la mine ont décidé de réduire de pic les salaires des mineurs. Si on tient compte que le salaire de ces derniers fut deja abaisse de 308 40 pco que dans de nombreuses fosses on me travaille plus que 344 jours par semaine, il est facile de comprendre dans quelles conditions effervescence ouvrière, se serait déroulée attaque du patronat. Les réformistes convoquèrent un Congrès national des mineurs pour le sep.
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