AnarchismBourgeoisieCapitalismCommunismDemocracyIndividualismLiberalismMarxismRussian RevolutionSocialism

62 63 erreuil satisfait dans ses besoins, du fait une égale providencielle 20esure jetée par. 211 indéfinissable dispensateur de vie. Celui ci aurait pas désigné le monarque, mais aurait donné chacun une égale faculté de indiquer. La prémisso sur laquello repose la théorie démocratique. malgré son ostentation rationnaliste. est pas dissemblable, per sa puérilité métaphysique, de celle du libre arbitre. pour qui la loi catholique de au delà acquitte ou condamne. La démocratie théorique, pour autant qu elle se situe au dehors du temps et de la contingence historique, est donc pas moins empreinte de spiritualisme, que no étaient dans leur profondo les philosophics de. autorité révélée» et de la monarchie par droit divin.
Celui qui voudrait suivre de plus près ces problèmes aurait qu se rappolec que la doctrine démocratique a été, bien des siècles avant la déclaration du droit de homme et du citoyen et avant la grande Révolution, présentée par des renseurs qui se trouvaient totalement sur le terrain de idéalisme et de la philosophie métaphysique. autre part, la grande Révolution elle même a bâti, au nom de la Raison, les autels du Dieu chrétien, toutefois en voulant faire ou bien en étant obligé de faire une déesse de la Raison elle même, Cette prémisse métaphysique, incompatible avec le caractère de la critique marxiste, appartient non seulement aux constructions du liberalisme bourgeois, mais aussi toute cette doctrine constitutionnelle et ces projets édification de la société qui se fondent sur la. vertu intrinsèque. de certains schémas de rapports sociaux et étatiques. En construisant sa doctrine do histoire, le marxisine démoliasait, en effet, la fois idéalisme médiéval, le libéralisme bourgeois et le socialisme utopique. ces constructions arbitraires de constitutions sociales, aristocratiques ou démocratiques, autoritaires ou libérales, auxquelles la conception anarchiste une société sans hiérarchie et sans délégation de pouvoir est analogue; le communisme critique a opposé une étude bien plus fondée de la nature des rapports sociaux et de leurs causos, ceci au travers du développement complexe qu il présento du cours de histoire humaine, basée sur une analyse attentive du caractère des rap.
ports sociaux dans époque présente du capitalisme et basée sur une série hypo: thèses pondérées quant leur ultérieure évolution où vient ajouter aujourd hui la formidable contribution théorique et pratique de la révolution russe.
Il serait superflu de développer ici les conceptions connues du déterminisme économique et les arguments qui les justifierit pour interprétation des faits historiques et du mécanisme social. Tout priorisnze de conservateur ou atopiste est parallèlement éliminé par introduction de facteurs qui prennent racines sur le terrain de la production, de économie et sur les rapports de classe qui en jaillissent; noua permettant ainsi de passer une explication scientifique des faits de ces différents domaines qui sont représentés par les manifestations juridiques, politiques, militaires, religieuses, culturelles de la vie sociale. Nous nous bornerons ici suivre une façon sommaire, au travers du cours de histoire, les évolutions qu a présentées le mode organisation sociale et de regroupement des hommes, non seulement dans Etat, aspect abstrait une collectivité unificatrice de tous les individua, maiş aussi dans des organismes différents qui se forment du fait de certains rapports entre les individus. la base do interprétation de toute hiérarchie sociale; très étendue où limi: tóe se trouvent les rapports entre les différenta individua, et la base de ces rap.
ports se trouve la division de fonction entre les individus.
Primitivement, nous pouvons imaginer, sans commettre une grave erreur, existence une forme de vie, complètement inorganisée, de espèce humaine.
Le nombre limité individus permet l espèce de vivre des produits de la nature sana y appliquer un art quelconque ou un travail, et chacun pourrait donc de telle façon. pour vivre. se dispenser de la collaboration de ses congénères. Il y a autres rapports que ceux, communs toutes les espèces. les nécessités de la reproduction, mais déjà pour espèce humaine et non seulement pour elle ces: nécessités suffisent pour construire un système de pports et une hiérarchie. pour donner le jour l organisation de la famille. Celle ci peut se fonder sur la polygamio, sur la polyandrio, sur la monogainie (il ne agit pas ici entrer dans ane telle analyso, en tout cas elle nous donne embryon une vie collectivo organisée sur le division de fonctions acquises comme conséquences directes des facteurs physiologiques pour lesquels, alors que la mèru reste la garde dos enfants et les élève, le père so dédio la chasse, la protection contre les ennemis extérieurs, etc.
Comme dans les phases ultérieures de la production et de économie, dang cotte phase initiale qui est celle de absence presque complète de ces deux élé.
ments, il est inutile de arrêter dans une recherche abstraite afin de savoir si nous sommes en présence de unité individu ou de unité société. unité de individu il sens, au point de vue biologique sans doute, mais ce est qu une élucubration métaphysique quand on veut en faire lo fondement de la construction sociale, puisquo, au point do vue social, les unités ont pas une valeur égale entre ellas et la collectivité ne surgit que de rapports et évolutions où chaque partie et activité de chaenn ne sont pas une fonction individuelle mais une fonction collective déterminéo par de multiples influences du milieu social. Même dans le cas.
élémentaire une société inorganisée ou do inexistence une société, la so physiologique que nous donne organisation familiale, nous suffit pour détruire Paspect arbitraire de Individu en tant qu unité ultérieurement indivisible (au sena littéral du terme) et supérieurement composablo avec autres unités sem.
blables qui gardent leur distinction et, on un certain sens, leur équivalence. Il existe même pas unité société et cela est évident puisque les rapports ontre les hommes, qn ils soient basés sur la simple existence réciproque, sont très limi, tés et rostreints an cercle de la famille ou du clan. Nous pouvons anticiper et avancer la conclusion que unité société. a jamais existé et existers probablement jamais que comme une limite. de laquelle on peut progressivement rapprocher en dépassant les frontières dos elasses ct cox Etats. unité individu pont être pensée comme un élément de déduction et de coisa truction sociale, ou, si on veut, de négation de la société, la seule condition de partir une premisse irréelle qui, somme toute, bien que présentée aveo des formulations très modernes, est, en définitive, qu une différente roproduction des concepts de la révélation religieuse, de la création et une vie spirituelle indépendante des phénomènes de la vie naturello et organique. chaque individu la divinité créatrice, où une force unique gouvernant les destins du monde, a donné cetto investiture élémentaire qui en fait une molécule autonomno, bien définie, consciente, volitive, responsable, de agrégat aocial, indépendamment des acci.
dents superposés, des influences physiques du milieu. Ce concept religieux ét idéaJiste est modifié que dans les apparences, lorsqu on étudie la conception du Jibéralisme démocratique ou de individualisme libertaire. âme cn tant qu étincelle allumée dans entité suprême. la souveraineté subjective de chaque électeur, ou autonomie limités du citoyen ans la société sana lois, sont autant de philosophismes qui pêchent par le même infantilisme devant la critique, aussi résoha que puisse être le matériahome. des preiniers libéraux bougeois et des anarchiates.
Ce concept a son correspondant dans la supposition, qui a une nature égale.
ment idéaliste, de unité sociale parfaite, du monisme social, construit sur la base de la volonté divine qui gouveéne et administré la vie de notre espèce. En exami.
rent le stade primaire de la vie sociale, at arrivé en présenco de organisation familiale, nous sommes obligés de conclure avec des hypothèses métaphysiques en ce qui concerne unité indivídu et unité société. Nous pouvons aussi nous passer ele interprétation de la vie de espèce et de son processus évolutif. mais nous pouvons, per contre, positivement affirmier que nous sommes en présence un type de collootivité organisée sur une base unitaire, et qui est la famille, Nous en førons pas un type fixe ou permanent, et au lieu de idéaliser en tant que modèle de forme de vio sociale, ainsi que on a essayé de le faire pour individu dans aparchisme ou dans la monarchie absolue, nous constaterong seulement exigtence de cette unité primaire dans des organisations huingines laquelle autres