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16Contrairement aux affirmations pédantes des marxistes universitaires. le capitalisme des firm:33 znaticnales, comme Volkswagen, Akzo, ont vu leur taux de croissance plonger brutalement. apparition ententes industrielles, emprise toujours plus visible des trusts ne sont pas les signes distinctifs un régime capitaliste en bonne santé, malgré exploitation inouïe du proletariat. En vérité, ils se font jour la faveur de la crise pour préserver le profit de quelques grands producteurs un taux suffisant.
En organisant pour mieux résister la crise, le capitalisme doit renoncer au libéralisme pour y substituer le dirigisme tatique. Cependant, les modifications de structures prises pour enrayer la dépression ne font que rendre plus explosives les contradictions du capitalisme. Depuis la 1o Guerre Mondiale, pour maintenir leur profit tout en faisant face la concurrence, les capitalistes de tous les pays, qui étaient targués du plus strict libéralisme, ont réalisé une plus grande concentration des pouvoirs économique et politique, augmentant considérablement le role de Etat.
Au fil des années, capitalisme est entré dans une phase où tous les éléments de déséquilibre sont allés en amplifiant pour aboutir, aujourd hui, une crise généralisée qu enveniment encore les rivalités inter impérialistes. Années émaillées par la dévaluation des principales monnaies, de augmentation des charges improductives, de industrie armement, de la formation une armée de réserve excédentaire toujours plus grande, ce qui a pour effet de réduire encore les écoulements du marché.
Certes, nous en sommes pas encore aux 30 millions de chomeurs recencés dans les principales metropoles pendant la grande dépression de 29, ni devant installation généralisée du désordre. Or si, ores et déjà, les différentes conquêtes de marché sont représentés comme autant de faits glorieux dans la compétition commerciale, est que le capitalisme ne se trouve pas en présence une banale crise de type cyclique au bout de laquelle il pourrait lentement écouler les stoks de marchandises, et enregistrer une reprise, mais bien une crise de surpr duction.
Au fur et mesure que le capitalisme épuise en tant que système social, antagonisme fondamental entre le Capital et le Prolétariat se fait plus âpre, les assauts de ce dernier deviennent plus impérieux. La violence de la lutte de classe de ces dernières annnées, accompagnant de la destruction progressive des partis et syndicats dits ouvriers. indique que la crise détermine plus que jamais le prolétariat se battre, car désormais il est seul porteur des intérêts du développement social. Depuis un demi siècle, le capitalisme ne se caractérise plus par un développement régulier des forces productives. Il constitue, plutôt,