AnarchismBourgeoisieCapitalismCentrismCommunismCommunist PartyDemocracyErrico MalatestaFascismHitlerSocial DemocracySocialismTerrorismViolenceWorking Class

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contre le fascismet Ainsi les ouvriers se décideront attendre que le capitalisme les déiivro du fascisme. entretemps les occasions, toutes les occasions, pour la lutte prolétarienno seront annulées et on arrivera enfin devant ces situations ou la bourgeoisie pourra réaliser lo bloc dús ouvriers autour elle, pour le déclanchement de la guerre.
Lors de incendie du Reichstag, il était parfaitement concevable et il te pouvait en être autrement que les social démocrates parlent de la provoca tion contre le capitalisme qui, surpris en janvier 1933 par arivée de Hitler au pouvoir, apprêtait se libérer de cette force médiévale par le canal sans doute de Hugenberg ou do M, Von Papen, Le socialiste est il pas celui qui prêche la nécessité de opposition permanente du prolétariat la violence. est il pas e anti violent» par excellence, ainsi qu il a si bien prouvé. en Ailemagne en 1920 par assassinat de milliers do spartakistes. Mais; sang aucun doute, appui la violence de 1919 1920 avait sa raison, parce qu elle a opposait la lutte éman cipation des travailleurs, parce qu elle garantissait le règne du capitalisme. La violence de Van der Lubbe, pouvant compromettre le retour. de ce capi talisme, devait être considérée comine une provocation. Aussi le gosto de Van der Lubbe, voulant signifier la nécessité de la violence comme seule, arme de lutte du proletariat, devait il se heurter l opposiiton acharnée. de la social démooratie, toute désignée pour occuper une place de premier plan dans la croisade contre le maçon de Leyde. Il avait ogé coininettre le sacrilège de donner, au parlement, illemand uno mort heroique, est dans les flammes qu il voulut faire disparaître.
cette institution bourgeoise qui préserva le capitalisine de la révolution ét:qui, pendant quatorze ans, était démontré indispensable pour permettre de la bourgeoisie. extirpor toutes les organisations do la classe ouvrière. aient pas atteint le sommet dans une campagne faite de scandales où la presso ecntriste est certainement classée, au premier rang, entr autres reportages cffet, pour impressionner. homme de la rue Ce est donc pas sur des donnéey de faits que se détermine une disposition générale pour attribuer Hitler initiative de incendic, car Van der Lubbe aurait pu prendre les plus grandes précautions, en chargeant ses amis de révéler ses intentions véritables, rien aurait empêché que toute la campagno contre la provocation. ne se déclanche quand même, Il faudra donc analyser cette montalité qui conduit directement considérer que attentat, acte terroriste, ne soient et ne puissent être autre chose que des machinations indispensables au fascisme pour Taffermr son pouvoir et écraser ses adversaires. Cette mentalité découle de deux attitudes centrales, dont une est parfaitement logique, et autre appartient, de plein droit, la dégénérescence qui gangrène le mouvement communiste, après la victoire du centrisme, au sein des partis cominunistes.
Pour démocrates et social démocrates, le fascisme ne représente pas un mouvement bourgeois. pour eux le capitalisme ne peut vivre sans la démocratie, et chaque instant ils feront croire aux ouvriers, que sinon Bruening, ce sera Hindenburg, ou Von Papen, ou Hugenborg qui attendent que occasion propice pour passer l attaque contre invasion fasciste. La terrible expérience italienne ne signifiait pas, du fait de inexistence un véritable parti communiste en Allemagne, impossibilité pour la social démocratie de répéter la fonction qu elle oocupa en Italie, Bien qu en Allemagne les conditions se trouvaient être beaucoup plus compliquées pour la réalisation de la fonction de la social démocratie, celleci détenant le pouvoir en Prusse et étant un élément indispensable au jeu de Bryening. l iutérieur du Reichstag, les Severing, Braun et compagnie ont pu.
quand inême acquitter honorabienient de leur tâche de fossoyeur des organisatrong prolétariennes. Pendant deux ans le problème, pour le capitalisıne, consistait, éviter que les travailleurs emploient leur force et la force de leurs organisations pour livrer, en pleine crise économique, leurs combats de classe. La social democratie était sa place pour défendre nouveau le capitalisme. Elle disait aux ouvrieis que la seule condition pour éviter le. pire. était abandon de toute lutte ouvrière, celle ci ne pouvant que faire le jeu du fascisme.
Lorsque la social démocratie engage les ouvriers ne plus se défendre par la violence, laisser initiative de la violence criminoile au fasciame, laisser memp. so perpétrer les crimes des bandes fascistes, elle reste parfaitement logiquo ayec la fonction historique qui lui revient Suivant la haute sagesse du social democrate, les ouvriers auraient par conséquent aucune goutte de săng sur la consqienge et pourraient rappeler les gouvernements bourgeois au sens de leurs res ponsabilités Lo qapitalisme libéral et démocratique entendant les voix. prolétariennes, parviendrait ainsi, grâce une investiture divine; retrouver son:«ime. malheureusement égarée. Et, en définitive, les prolétaires redeviendraient ces brebis dų, fidělo. troupeau, rappelant leur gardien l ordre, pendant que le capitalisine continuerait administrer les pilules de la liberté et de la démocratie. Cependant histoire est pas faite de rencontres paisibles entre brebis sortant ou rentrant dans le troupeau et des gardiens, propriétaires, immuables de ce dernier. Mais histoire, et histoire du capitalisme, est celle des bouleversements économiques et de classe; et si, fauto un parti de classe, la crise économique sans Issue se rencontre avec une crise sang issue de la révolution, organisme social qui a pu se reconstituer sur une base prolétarienne, au travers de insurrection victorieuse du prolétariat, se reconstitue, so reorganise, relancé qu il se trouve être dans une direction opposée, sur une base capitaliste pour apparaître désormais au travers du bourreau fasciste.
Los social démocrates italiens abord, allemands casuite, ont ils pas engagé les ouvriers de guetter la syphilis de Mussolini:qu la morphinomanie. de. Goering, opposition du roi Italie, ou du président Hindenburg, du libéral Giolitti ou du nationaliste Hugenberg, ou, enfin, le resajsissement ou In révolte de la bourgėgisie y La montée du fascisme en Italie, instauration ot le renforcement de la dieta ture des chemises noires, 80. sont heurtés une série attentats et acteg terro ristes, Ceux ci ne se bornaient pas seulement la personne de Mussolini, mais sur tout, avant la marche sur Rome, exprimaient différemment. Ainsi, il eut la période dite de allumette. qui représente inceridie énormes bois. Notamment l occasion de incendie des chantiers de St Marc, le prolétariat de Trieste écrivit une des pages les plus gloriuses. do sa lutte. aucun moment il no fut question, de la part des communistes, de considérer qu il agissait la actes de provocation. Et pourtant, au moment mêmio, oltes attentats se produisaient, les communistes avaient nettement la certitude que le fascisme en aurait profité pour pager dine lutte toujours plus violente contre son avant garde. Lors de attentat du «Diana. en 1921, la panique fut générale et elle engloba même les anarchiates et leur chef incontesté, Malatesta, qui ailleurs a donné maintes preuves de courage et de fermeté personnelles. Mais les cominia nistes ont jamais participé ces concerts unanimes contre les attentats et chaque occasion ils britèrent le chaur des lamentations hypocrites et des dis culpations peureuses pour en arriver, dåñs o certaines circonstances, no pas vendiquer leur opposition de principe, aux actes terroristes. Car cela pouvait faite le jeu de ennemi qui exploitait ces événemnts, pour extirpor du cerveau de la classo ouvrière, idée de la nécessité do la violence, Mais alors le centrisme était pas la direction des partis communistes et, au point de vue de la doctrine, la divergence avec les anarchistes se plaçait nettement sur le terrain de la nécessité de la préparation de insurrection, sur la base des mouvements de classe contre leur thèse de la révolution pouvant résulter une multiplication de gestes individuels. De plus, sur le terrain concret, cette divergence se manifestait clairement au travers de la compréhension que les communistes avaient de la lutte ouvrière.
Cette dernière ne se déroule, pas suivant le schéma militaire arméns contrôlées et disciplinées, se mouvant en réflexe des mouvements de classe, De ce fait, les communistes passaient ouvertement l explication des actes terbristes et des attentats, et efforçaient de les encadrer dans le processus de la Witte révolation Å.
YAO. ML Whi MYSTY