DANS LA LUTTE CONTRE LA REPRESSION PAS ALLIANCE AVEC LES BOURREAUX DE RECHANGE!
Le Capital et ses défenseurs tentent de se laver les mains en rejetant sur quelques uns de ses fonctionnaires le responsabilité de ses actes de répression.
Mais lorsqu un flic de la volante de Renault tue Overney, ou bien quand la Régie licencie des travailleurs qui tentent de mettre en question oppression de usine, il est évident que ce ne sont pas quelques individus qui agissent; est bien le Capital lui même, ensemble des capitalistes qui frappe Dreyfus ou Tramoni ne sont que les exécutants du moment.
Le Capital sait que son système économique menace de effondrer;1l sait que son ennemi mortel, la classe ouvrière, commence se relever engageant des combats de plus en plus radicaux. Alors, le Capital double ses effectifs de police, alors il licencie, alors il tue.
En France ou en Russie, en Pologne ou aux Etats Unis, le Capital ne peut vivre que par la répression systématique des travailleurs.
SI ELLE NE VEUT PAS ETRE UNE DUPERIE, LA LUTTE CONTRE LA REPRESSION DOIT ETRE UNE LUTTE CONTRE LE CAPITAL DANS SON ENSEMBLE. est pourquoi la classe ouvrière A RIEN FAIRE DES LARMES ELECTORALES DES PARTIS DEMOCRATIQUES OPPOSITION.
Ces gens, même ils affublent du nom de Socialistes ou de Communistes. ont déjà fait leurs preuves comme PARTIS ORDRE DU CAPITAL. Leur but est pas de détruire le Capital, mais en assurer le bon fonctionnement LORSQUE LA BOURGEOISIE APEUREE BESOIN DE MIEUX ENCADRER LES TRAVAILLEURS.
Du sang des prolétaires révolutionnaires, ces gens font des affiches électorales. Et quand ils sont au pouvoir, ils hésitent pas le faire couler pour LES BESOINS DE ORDRE NECESSAIRĒ LA PRODUCTION CAPITALISTE.(Voir Jules Moch, le socialiste et la répression qu il ordonna contre les mineurs grévistes, ou le massacre des ouvriers de Gdansk, en Pologne, par le parti frère du