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109 Et, e un. Congrés de la Ir, il a occasion de déclarer. On to Baureit non plus permettre une organisation ouvrière de parelyser une industrie par le libro déploiement de sa puissance. Pour Johnson, la distribution des richeusea et des revenus est présent juste. il affirme que le travail ne pourra jamais obtenir davantige dans le système économique Retuel (nous le bavions déjà un peu. Le jugement du gouvernement dans ces questions est sensé être définitif et obligatoire. Si lo traveil organisé est pas accord avec lui, il sera supprime Le masque toxibe.
108 cos, déponses pout cependant atteindre des. limites, telles que les perspectives inflation en trouvent considérablement élargics.
Le courant inflationniste, déjà, amplifie, sous la pression de la multitude des débiteurs qui croiont y voir leur salut: les fermiers, qui avaient vécu espoirs jugqu en juillet, voient leurs illusions effriter: la chute des prix agricoles (l index tombe de Bo en juillet, 55. au début de novembre. la hausse des produits industriele, entrainent une diminution de leur pouvoir achat de 17 par rapport juillet. autre part, on qoregistrë échec des tentatives de contrôle de la production cotonnière, égale celle de 1932, en dépit une réduction de i7 des surfaceæ cultivées. Le rendement de acre est estimé 208 lbs pour 1933, alors que la moyenne des dix dernières années était de 167 lbs. Naturellement, les fermiers go sont bornés abandonner les terres les inoing productives ot les indennités abandon qu ils ont touchées ont servi di achat engrais pour amélioration des emblavements conservés. agitation agraire se traduit en grèves dos producteurs, pour faire pression sur le gouvernement, maia Roosevelt refuse imiter Hoover dans sa politique de financement des récoltes, qui est révélée désastieuse. IL. consent tout au plus consaorer quelques millions de dollars l achat de blé destiné aux chômeurs La nouvelle orientation que Roosevelt donne la politique monétaire la fin octobre (achats or) expliquo fort bien par la nécessité de calmer les fermiers en continuant leur promettre la hausse des prix, En attendant, la situation, notamment dang industrie, aggrave: une part, lor prix de rovient ont haubB6 de 25 30 autre part, par suite du large. déséquilibre subsistant entre la production et la conaommation, les prix de vente ont pas suivi la dépréciation du dollar (17 c, contre 37 au dollar. index des prix està: 71 contre:100 en 1926, ce dernier chiffre étant objectif que Roosevolt était fixé.
Le bulletin octobre de la Federal Roserve avoue Lo ralentissement de cours de ces derniers mois est manifesté surtout dans loo Industries. qui avaient bénéficié auparavant de expansion la plus rapide. 11 est également aansible dans les industries où les impôts de transformation et des Oodos ant été mis en application récem emment. index de la production, de 62 en juillet, redescend 68. au début de noyembre et retombo ninsi presqno au niveau de la même période de année 1932. agitation ouvrière it est amplifiée dans des proportions que Roosevelt avait cortos pas prévues Les clauses insérées dans les codes, qui apparatibaaiont comimo tog nvantages des concessions accordés aux ouvriers, cont été systématiquement sabotées par le patronat. Beaucoup do patrons refusent en.
tror en pourparlers invec les syndicats (Fort et Los grèves se multiplient ct étendent. En juillet, en Pensylvánie et: en Vir giiie citadellos de la puissante United Steel Corporation (Tivat de Acier)
un mouvement englobe 75, 000 mineurs et métallurgistes par suite du refus ac: coptation par le patronat du Code du Charbon. Le travail reprend au début.
la grave colate nouveau et éterid progressivement 130, 000 ouvriers. Le code accepté et appliqué, ne donne pas satisfaction aux mineurs. au lieu de et dollars, le tarif ne prévoit que. et dollars: dans le Nord et un salaire en core inférieur dans le Sud. Aucune garantie est donnée une quantité do tra.
vail minimum dans année. Par contre; arbitrage obligatoire est imposé aux ouvriers, Ohoster, chez Ford, une grève éclate pour protester contre la réduc.
tion des heures de travail de 40. 32 henres et parce que les salaires sont ramenés de 20. 18 dollars par semaine.
Johnson, chef de la dans un discours traitant de la question des grèves; dit les groves ne doivent pas être tolérées, le capital et le travail sont présent sur pied égalité, le travail a plus besoin de lutter pour sa cause puisque le gouvernement fait pour lui tout ce qui est possible et que les grė.
veg, organisées par les travailleurs, inenacent de détruire le mouvement Juvrier. Avant de terminer, tous voulons signaler la dernière trouvaille de Hoogevelt; la fixation du prix de or. Nous avong déjà ce que Marx en pense lorsqu il; dit quo. parce que or, comme étalon des prix, se présente sous les mêmes noms die compte que les prix des marchandises (par exemple: once or 20. 87 dollars)
on a fait naitre étonnante notion que la valeur de or pouvait exprimer en sa propre substance et qu la différence de toutes les autres marchandises, il recevait de Etat un prix fixe.
La nouvelle mesure signifie que Roosevelt a intention acheter de or. Bur.
des bases qu il fixera et qui fluctueront: lo. cours du dollar sera. dirigé. mais il reste évident que est le dollar (papier) qui variera en fonction de arc non le prix mondial de or (celui ci étant fixé actuellement par la Banque de France: qui a maintenu étalon or ot la convertibilité, en or. Par conséquent, plus le prix de or fixé en dollars élèvera, plus baisscia la valeur du dollar sur le marché international. Où le prétention impériaiiste de Roosevelt nous parait excessivo, est lorsqu il se propose de emparer du con: trôle du parché international de afin de relayer les prix mondiaux (il est exact que si ceux ci ne haussent på augmentation des prix intérieurs estora inoperante. On lui prête les projets suivants. rectifier la répartition de or dans le monde, la valeur de or doit doubler. partout; le dernier refuge des capi.
taux court terme (pays. monnaio or. doit être conquis; il faut déblayer le terrain en vue de adoption un nouvel étalon monétaire. Rien, dit il, estä davantage susceptible de répondre aux besoins de humanité qu un nouveau sya?
time monétaire. Il entend par là, évidemment, établissement du système de la momaxie marchandise ou monnaie indice Sou monnaie compensépe dont Lolig avons parlé précédemment et qui équivaudrait la suppression de la mar chandise or utilisés comune mesuro de toutes les autres marchandises. Ce serait, en fait, la disparition de la monnaie elle même, qui ne peut se réaliser que si disparaissent aussi la loi de la valeur, le marché, et le capitalisme lui même.
Résumons nous. la dépréciation monétaire déclenchée par Roosevelt ne peut aboutir une hedsserballe des prix, de la valeur des marchandises et ne peut, donc, en ne peut etre que nominale, exprimökit par un plus grand zombre de: signes monétairos; exprimée en or, les prix au contraire, baisseront, et cette baisse provoquera cello dea prix mondiaux (co phénomène est produit aprèa: 14 dovalnation de Livre sterling. Une hausse nominale des prix ne peut entrainer une augmentation de la capa cité achat, mais seuloment me modification dans la répartition de la capacité: achat existante. Le seul génératcut da. pouvoir achat, est le TRAVAIL et 10 pouvoir achat snpplémentaire correspond au travail: nouveau incorpóre dla production.
Aucune des mesures incluses dans expérience américaine et dans le cadre du; capitalisme no détermine ni ne peut déterminer, dans avenir, une augmentation do la oapacité générale de consommation, Au contraire, les résultats: aoquin jus. qu ici aboutissent qne rédaction de cette capacité de consommation au détriment da proletariat industriel et agricole. La fosbó, entre la capacité productive et la capacité de consommation va élargishunt. Tel est le résultat: logique tentativo do Roosevelt. Au de loi oc DIMM