54 au moyen argent de consommation, comme est le cas pour les autres entreprises. Ces entreprises travaillent donc gratuitement et leurs usagers puisent au tas.
Il est évident que tout ce qui est nécessaire au fonctionnement cie ces entreprises doit être produit par les ouvriers des entreprises de tyre productif. Les ouvriers ne pourront donc zas toucher le produit int gral de leur travail. La question est seuelemnt celle ci: quelie est la art ilu produit qu ils devront laisser tonder cette fin. La détermination Tu coût de fonctionnement des services publics offre bien entenlu aucune difficulté particulière.
Ces entreprises tiennent une comptabilité où figurent les trois postes connus:moyens ile iroduction. matière première et travail vivant. enserble de ces entreprises dressent un bulget ensemble de leurs besoins. Si ce budget est par exemple le suivant: (8 millions) 11. (50 millions. 50 millions)
108 millions heures de travail, nous savons que ensemble de la société devra prendre sur la partie consommable de son travail productif direct 108 millions heurs de travail pour faire fonctionner les services publics.
La solution courante qui nous était offerte jusque maintenant tait celle qui consistait faire supporter jusque maintenant ces frais par Etat. est aussi la solution capitaliste qui récupère les avances faites ces industries grâce des contributions directes ou indirectes. En Russie, la solution est trouvée par le fait que est Etat qui encaisse les bénéfices réalisés par les diverses entreprises; autre part, Etat tablit des impôts indirects. La vente alcool, détenu en moliopole par Etat, est aussi un moyen pour se procurer de argent. La Hongrie agissait de même grâce sa olitique des prix.
Il est vrai que de nombreux théoriciens ar conisent autres solutions. En général, ils admettent que le coût des services publics doit être calculó une façon inutieuse. Ce coût intervient ensuite pour déterminer le coût définitif ces prorluits. Le coût des services publics est donc introduit dans le coût des marchandises. Cette solution est, notre avis, repousser, acr elle erbrouille le calcul de coût des marchandises et voile la productivité des entreprises. La seule solution qui nous semble compatible avec le but affranchissement des travailleurs posé par la révolution, est celle qui consiste déduire directement du fonds de consommation ce qui est nécessaire au fonctionnement des services publics, par une réduction des bons de consommation délivrés aux producteurs.
Il faudrait alors calculer le taux de paiement, est dire la partie de la production sociale qui revient au pro