317 316 que les ouvriers de Changhai, la Fédération des Cheminots, les mineurs dy TanChang ot seulement, dans une mesure réduite, les marins, Le triomphe de la contre révolution en 1927 mis partout les syndioats rouges hora la loi et en même temps le Kuomintang a développé un travail organisa. tion ouvriers dans les syndicats jaunes, dirigés par lui. Dans la suite, on put remarquer un certain travail de réorganisation au sein des syndicats de classe, la Centrale ouvrière pan chinoise a même tenu des Congrès, mais il découle des rapports publics que le travail des syndicats rouges. se trouve encore détaché des grandes masses ouvrières. Il agit ici une conséquence du dédain du parti officiel envers le mouvement ouvrier des villes et aussi un résultat du tournant du contriamo vers une concentration de toute son activité vers armée rouge et ce que on appelle le pouvoir soviétique de la Chine, comme si les ouvriers chinois ne devaient absolument plus avoir confiance en leurs. propres organisations de classe et dans leurs luttes, mais attendre vainement leur libération une action unique des bandes de partigang rouges, époque où il était une petite secte, mais aussi après son développement. Comme expliquent très justement les signataires de la. Lettre de Changhai (1. jus.
qu en octobre 1926, la question de la paysannerie a pas été poséo, fut ce même une seule fois. cette époque fut élaboré un programme de revendications pays nnes qui resta lettre morte; par là même, il apporten aucun changement essentiel dans la tactique du parti relativement la question paysanne: la ligne ancienne consistant étouffer la lutte dans les campagnes et freiner les mouvements paysans, se continua intégralement. Au Plenum de décembre 1926 fut adoptée une résolution relative la question paysanne. Dans cette résolution ne figure pas un geul mot concernant le programme et la lutte agraire. la résolution répond seulement la question du pouvoir paysan ot, naturellement, une façon négative. Elle dit entr autre qu il ne faut pas lancer le mot ordre du pouvoir paysan. afin de ne pas effrayer la bourgeoisie. est encore la même politique que nous avons constatée au sujet de la question de armement des ouvriers. éviter, tout prix, la rupture avec le Kuomintang. Et pourtant, était époque où, un peu partout, la paysannerie, spontanément, prenait la terre et tâchait de la défendre les armes la main, contre les propriétaires qui, renforcés par la contre révolution, passaient la contre offensive.
Au même Plénum de décembre, quand il agit de armement des paysans dang Hounan, où existait une véritable. jacquerie. des paysans, la réponse fut tout auşši negative, On était pas encore arrivé, alors, au inot. ordre de la Chine Soviétique que on arbore maintenant.
Si on étudie maintenant la période néyralgique de 1926 27, on peut voir que le parti, tout en se transformant une petite organisation de 994 membres, dont 00 po intellectuels (4e Congrès tenu Changhai en janvier 1926) en un parti de molasses do 68, 000 membres, dont 58 ouvriera, 18 o. de paysans, 19 d in tellectuels, au 5e Congrés de Wouhan de juin 1927, jouissait une influence réelle sur des centaines de milliers ouvriers et paysans, bens jouer vraiment le rôle qui aurait correspondu une telle influence politique. Ainsi, pour ce qui est de 18 prément des ouvriers et des paysant, la formation de noyaux communistes dans armée nationaliste, le travail de propagande en son sein et la lutte pour gagner était pas le peuple armé, mais une armée de mercenaires au Bein de laquelle aucun travail politique était possible. Le Plenum du du parti; tenu en de cembre 1928, avait pris la décision de créer des cellules dens armée, mais des cellules farmées seulement de commandants avec interdiction y faire entrer les simples soldats, La Tribon réelle de toute cotto politique néfaste était, naturellement celle qui détermina la politique de cette période, est dire empêcher toute rupture aveo le Kuomintang. On rejeta, co Plenum, la proposition de faire entrer en masse dans armée les ouvriers et les payaara, ainsi que les chomeurs et les membres des piquets ouvriers qui, surtout ces derniera, avaient une certaine préparation militaire, Quand, en 1927, le parti entra dans le gouvernement national, auqun commupiste ne fut nommé dans le Conseil Militaire. Et au moment de la rupture avec le Kuomintang, les communistes avaient dans toute armée, que des grades subal: ternes. Seulement deux entre eux, Yeh Tin et Ho Heng, dirigeaient cheout un régiment et cela au moment ou de produisit lo soulèvement de Wanchange qui conduisit les partisans rouges presqu aux portes de la ville de Syatof. Il est ailleurs caractéristique de constater; que, dans toute armée. nationale révolutionnaire. 08 furent soulomont les groupes de soldats, ayant leur tête des communistes. dono trea peu) qui. su moment du pasprige dõfinitif du gouvernement do Hankow dans le camp de la contre révolution, suivirent ceux ci. Oola démontre les possibi: lités énormes qui auraient existé pour le parti avec une autre politique, une politi.
que action Téelle au sein de armée, dans intérêt de la révolution prolétarienne, Les mouvementa paysans en Ohine ont une vieille histoire et on les trouve oate de tous les grands mouvements sociaux dans histoire du pays. Par exemple, le volte célèbre des Taipings, qui 60 rattache aux premières interventions de impérialisme anglais en Chine (guerre de opium) a pas été un mouvement proz Yoqué par ambition et le fanatisme religieux de ses chefs, comme on explique en général, mais fut une réelle révolution agraire qui trouve son explication dans les conditions sociales de la Ohine et dang Loppression des propriétaires fonciers.
Le parti communiste ne est pas occupé du mouvement payaan, non seulement La Conférence du parti août 1927. condamna définitivement ce que on appela la ligne opportuniste de la vieille direction de Tchen Dou Siou et fit table rase des anciens dirigeants, sauf Tsiou Triou Bo, qui, ayant fait une opposition verbale gaiohists, fut élevé en exécuteur de la nouvelle ligne. ouvre ainsi époque. putsohiste. qui trouve son expression dans la Commune de Canton de décembre 1927.
Toutes les conditions étaient défavorables pour une insurrection Canton: le sou.
lèvement agraire en déclin; une armée aux portes de la ville, la population ouvrière de Canton composée surtout artisans et de coolies, les seules couches ouvriers, los métallurgistes, se trouvant de autre côté de la barricade, ot, malgré cela, le parti voulut marcher l assaut dono au putech. Il est bien entendu que nous po voulons en rien diminuer héroïsme des communards de Canton, qui luttèrent jusqu la mort. Mais exemple de Canton était pas isolé. la même époque, cing autres comités régionaux, entr autres ceux de Houpelh et de Ohanghai se prononoèrent pour le soulèvement immédiat On Burestimait maintenant les succès des mouvements paysans qui ne pouvaient avoir qu un caractère sporadique et no caTactérisaient pas la situation généralo do reflux de action révolutionnaire et de offensive de la contre révolution victorieuse; Le Be Congrès du 0, de juillet 1938, continua a maintenir la perspective de «lutter pour la victoire dans une ou milioni di peringen en Tania Sica como funt interese per application approa a.
chet de villes importantes comme Tchangcha et Hon Kow; une défaite completo de Armée. Rouge. Alors, ce fut le tour de Li Li Sien etre le bouc émissaire de la défaite, On découvrit soudain qu il avait pas de consolider la base révolutionnaire. qu il avait; lui aussi, fait une politique aventuriste. Après la chute de Li Li Siau, après un essai de mobilisation des masses sous des mots ordre démocratiques, celui de Assemblée Constituante en premier lieu, en remplacement de perapective de prexdre immédiatement le pouvoir dans une ou plusieurs provinces. le centrieme a enfin abouti sux mots ordre actuele défendez Armée Rouge, défendez le gouvernement soviétique chinois, déføndez Union Soviétique Rugge. 1) Il agit une brochuro éditée par le Redressement communiste en France en 1998 et écrit par la minorité de la délégation de I. 0, on Chine.