198 199 quellog ID crise en L4 48.
1:45. en 1933 LA. La conourrence se développe entre Entente de acier et les. indépendants une part les Trupts anglais et américain autre part (dévaluation de la livre et du dollar. impérialisme japonais surgit en nouveau. concurrent. Sur le marché intérieur, outre le trouble jeté par les entreprises indépendantes, le conflit se déve: loppo entre les producteurs acier (qui subissent emprise de De Wondel) et les producteurs de fonte brute (qui produisent séparément. Sur le marché extérieur, la position devient intenable sous le poids des prix de revient élevés et du fardeau de étalon or, industrie cotonnière est durement touchée, le capital financier ayant sacrifié cette industrie aux intérêta de Manchester, en contre partie avantages obtenus en faveur de la métallurgie. Le développement de la soia artificielle, la diminution de la consormation aux colonias (14 pie depuis 1999. invasion des tissus japo nais sont parmi les autres causes du matasme, La baisse de la production en poids, ontre 1928 et 1932, atteint 73. Au Japon, augmentation est de: 43. Après la baisse des salaires issue de la grande défaite prolétarienne de 1931, le patronat du Nord passe nouveau l attaque, conjuguant celle ci avec offensive des magnata du textile de Verviers.
LA CRISE DU VIN ET DUBLE. Nous avons indique les raisons pour les crise agricole, facteứr considérable aggravation de la crise mondiale; avait pas, en France, pris ampleur développée Lux Etats Unis (ble, coton. en Amérique du Sud (cáfé) en Europe Centrale (ble. Mais, aujourd hui, le probleme du vin et du ble no poso impérieusements En viticulture, la réglementation de la production; lo bloquago des récoltes et intervention des crédits agricoles ont donné aucun résultat. La polítique du soutien des prix, analogue celle de Hoover, a pur que retarder la chute des prix, les falllites et accumulation del atocks Ato maroka duble eat dominé par les monopoleg (Banque Dreyfus. les gros produóteurs, les ninotiera, les spéculateurs, dont activité spoliatrice est double en exerçant une part, sur le prix maxima imposés aux paysans, et, autre part, laur lėši prix minima exigés du oibommateur, Le récoltes exo dentaires de 1932 1933, arrêt des exportations résultant des Toprédailça étrangères contribitont cependant l effondrement du marché intei riduri et loa prix du blé descendent métie jusqu 80 franos lo quintal. En juillet 1933, les monopoles imposent la fixation un cours minimum de 115 francs au quin tal, de sorte qu fin 1933, 10 prix intérieur impose équivaut trois fois le prix mon dial qui profite de prix. rémunérateur et quo signifie ilf Püsgüe Etat ina tervient pas, ni sous forme ayanges sur les récoltes, aj sous forme achats;le paçit paysan ne voit pas la pośšibilité écouler ses produits au prix fixe. pressé par ses obligations financières, il ne peut choisir le moment de la réalisation et il doit déder son ble vi prix aux entreprises monopolistes qui écoulent sur, le marche intérieur au prix imposé, exportant le surplus aux conditions du marche mondial ou même au dessous, grige aux gros profita réalisés, Le mouvement des prix traduit fort bien la pression des monopoleg par rapport 1980, les prix de Bron ont baissé, en janvier 1934, de 40 et les prix de detail do 6, seulement Depuis 1930, le coût de la vie na baisse que de 12. p. o.
ot, on janvier, 1934, les produits importés sont 30 e, moins chers que les produits nationaux, alors que cet écart était de 28po on août 1933, de détachement des Prix mondiaux, di avantage les gros agrariens, déforce considérablement la position de concurrence de industrie sur le marché mondial et isole de plus en plus économie française: LE COMMERCE EXTERIEUR Que la position du capital industriel exportateur soit; précaire, cela nous est encore révélo par les chiffres du cominerce exté rieur en 1933. malgré la situation privilégiée, qu elle doit aux conditions favorables que nous son commerce extérieur au tiers du niveau do 1929. Los importations bais. sent de 52 poi et les exportations do 64 bien qu en volume on constate une augmentation, en: 1933 par rapport 1932; le déficit de la balance de 1933 atteint 10 milliards et. il est inférieur celui do 1992; cela réaulte du fléchissenient plus rapide des importations résultant des contingentementa, surtaxe de change, etc.
Mais, relativement, ce défioit affirme une aggravation de la situation Par rapport aux chiffres du commerce global il représente: en 1913, 10 en 1931, 16 cion 1032, 20 et on 1933, 22 c; et, par rapport aux exportations, le désastre appa Tast encore plus net: En 1913, 22 o. en1931. 38 pic; en 1932, 51 c, et en 1933. 54 est dire qu en 1933 le déficit représente plus de la moitié du total des exportations. Autres constatations. Depuis. 1929, le déficit de stabilise aux environs de 10 inilliards. De plus, en 1933, la balance. agricole est encore: largement débitrice (7 milliards. en dépit des bonnes récoltes, La balance industrielle est aussi défici taire et elle aggravé par rapport 1932. Si les importationa de matières premières pour industrie ont augments, les exportations, d? objets fabriqués ont diminué l exception des automobiles et des armes et on peut en déduire que absorption des matières premières est faite surtout par les industries de guerre.
Autre indication importante. en 1933, la balance des comptes accuse un mali de plus de milliards créé par les diminutions de recettes provenant du tourisme, la baisse des frêts et des revenus de portefeuille. mais un indice qui, première vue, paraît favorable, o est accroissement constant, depuis:8 ans, de la part des colo nies et protectorats dans les exportations totales de la métropole: de 14 en 1927, elle passe 33 en 1933. Pour ce qui concerne les importations en France, la part des colonies de 11. 42 en 1927, passe 23 1932. Le commerce avec les colonieß rep, sente, en 1933, 27p. du commerce total, contre 12. p. c: 92 1925, Par contre, en chiffres absolus, les exportations vers les colonies sont en regression constante depuis 1920: élargissement rélatif du marché colonial et son rétrécissement absolu traduisent, évidemment, le recul considérable des exportatiofis françaises vers les autres pays, et si, relativement, le marché colonial est.
développé, cela signifie seulement que lo capital financier, de par sa position priviliégiée, a pu y accentuer en pression, Les exportations vers les colonies ont baissé, en 1933, de 39 c, sur 1929. Vera les autres pays, la chute atteint 70 c, sut 1929 et 76 pc, sur 1927, soit au dessous du niveau du recul mondial, représentant.
environ les deux tiers du commerce de 1929. autre part, la balance est favorable vis vis de six petits paya seulement (dont la Belgique. sur 36 commerçant avec la France (à exception des colonjes) et la balance avec le domaine colonial est déficitaire de 781 millions, bien que les échanges se soient accrus de 270 milliong La crise de par aspect spécifiquement agricole qu elle prend aux colonies, sévit aveo une, intensité beaucoup plus grande que dans le métropole le pouvoir achat des masses indigènes a été anéanti; en Afrique, au Sénégal, les, oléagis neux, le caoutchouc, principales, monnaies échange, ne peuvent lutter contre la concurrence du Nigeria et de Indo Madagascar, le pouvoir central est obligé de soutenir les cours du café et du manioc. En Indo Chine, la crise du riz aggravée par la formeture des marchés, chinois et japonais, plonge le proléteriat indigeno dans le débuement le plus complet Le Maroc, au sol riche, équipement puina: aant, est écrasé sous le poida des charges financières de Scapitaux trop abondam tnent investis et sa production de ble se heurte aux taxations de la Metropole, LA Tunisie aussi se butte aux contingentements des vins que lui oppose, la. Mere Patrie. Son économie, de plus, est ravagée par la chute des cours des phosphates et des minerais de plomb et de zinc. et le chômage la ronge. est Algérie qui est la moins affectée, de par sa proximité du marché métropolitain, son caractèro de partemental, son unión douanière avec la France et la nécessité pour celle ci imi porter des vins.
CHOMAQE, SEConnaissant ampleur du recul de impériálisme français, est permis accueillir avea scepticisme les statistiques qui la bureauoratio française fournit sur le chômage. il est même possible de les infiriner et iljsuffit, pour cota de consulter les rapports des inspectours officiels du travail. On y constato qu en ce qui concerne les effectifs des établissements comptant ait moins 10o aplariés, le pourcentage des chômetira coinplets est do p. cen 1931 et 20. p. cion 1933. Pour les chômeurs partiola, ces taux sont respectivement de 22:5 da AR na ME