BourgeoisieCapitalismCommunismDemocracySocial DemocracySocialismWorking Class

pas 11 SON 10 faible que no quecer 13.
économies paysans développement industriel, avec un appareil produötif plus établissement Sie économiquement of finançlèrement; 194 195 Sur la band de notre conception, le problème de la direction du mouvement, Hugsi bien que le problème de la modification du rapport des influences parmi les astea avantage du communişme, ressortiront de cette position centrale. est extension du mouvement qui fournira la possibilité de battre la fois le capitaOU VA LIMPÉRIALISME lisme et de débarrasser la classe ouyrière des traitres et des partis qui luttent, pour la conservation du régime capitaliste. Les communistes ne modifient en rien FRANÇAIS. letur opposition aux socialistes, proclament dès le début de la lutte, que celle ci est vouée un échec certain ai les masses ne parviennent.
Bę libérer des influences ennemies représentées par les bocialistes et leur direction, affirment aussi que STRUCTURE le bannissement des traitres est possible que par le passage a pune phase plu Le groupe impérialiste français est un des secteurs les plus résistants de économie mondiale et une enalyse inême succincte de ses éléments constitutifs avancée de la lutte et que est ailleurs co passage seul qui permettra de rem.
peut fort bien étager cette affirmation.
SIDIR porter la victoire contre ennemi. Assise Loin de briguer des places dans les comités de direction du mouvement, les sur une large base agricole, agglomérat. une multitude de petites France est restée longtemps ure nation retardataire du communistes les refuseront partout pour maintenir intacte, devant les masses, oppoint de vue position irréductible des deux programmes: la révolution et la contre révolution, ceux de Angleterre, de Allemagne des Etats Unis et un sol pauvre pour séparer brutalement les responsabilités sur la tournure de la lutte, Loin de en charbon. pain de industrie. le bassin de Lorraine fournissait de grandes to presenter devant les masses pour en distreirej und partie pour évincer leg sociac quantités de mineral de fer, mais qui ne pouvaient être entièrement traitées listes, les communistes montreront tout instant que enjeu de la lutte est pas de voir qui des deux communistes et socialistes, bien qu en 1913, la France était grande exportatrice de fer et se voyait dans obli; saura rouler autre, mais que gation de céder ses rivaux directe la matière première qu elle même ne pouvait det enjeu consiste dans la victoire contre ennemi: Les propositions constantes deş transformer qu en faibles quannités elle devenait ainsi vassale de ses congur commünistes porteront donc sur les moyens de lutte employer et la différenciarente. La guerro a profondément modifié cette situation tion envers les socialistes operere sur la base de deux courg opposés. un qui Versaillesa permis au capitalisme frå tiçais accroître ses réderved do förldü porte au compromis pour étranglement du mouvement, intre some extension simple ng double et de plus, les mines de la Sarze lui ont apporte un précieux pouvant seule conduire lh viotoire. objectif essentiel des communistes étant Io complément de charbon, insuffisant dependant pour résoudre favorablement le pro: front le plus élargi des masses, le degré le plus haut de combativité des ouvriers; blème vital de approvisionnement en combustible. Cela explique pourqiioi, peíi: des conditions assurant la victoire des masses et du parti la fois, il est clair qu au dant les premières années. aprēg guerre, la bourgeoisie française concentra sa cours du mouvement le parti ne prurra avo prurra avoir que attitude suivante. dès le début politique, en jouant sur la carte de la sécurité. sur des projets de conquête deg il aura proclamé son appui total au mouvement, le sort qui attend lea; magses si riches régions mintères de la Rühr. célles ci restent sous emprise des traitres, la nécessité de pousser la lutte son Si ces vélléités a hégémonie continentale se brisèrent par la volonté des impé: développement de séparation des responsabilités des dirigeants, la conséoration riálismes anglais et américain, la France acquit cependant la possibilité detendre de cette séparation par le refus catégorique de participer un bloc dirigeant qui le considérablement son domains industriel et particulièrement son industrie lourde.
Tondrait:co responsable du reverd certain, la participation la plus active au mouve est ainsi que le comité des Forges devient une puissance de premier plan ment et la défense des ouvriers er lutte, la décision ibien ferme de ne pas laisser INDUSTRIE. En seize ans (de 1913. 1920. Ia produótion de la fonto et de échapper: locoasion, lorsque celle ci 80 présentera, ide prendre la direction de la Hacier augmente de 100 cet atteint trois fois la capacité absorption du mars lùtte l exclusion de tout bloc, par expulsion des traîtres. Et lorsque le changement ché intériour. Le métallurgie françaiso 80 tränsforme en jądustrie exportatrod et de la situation dura déterminé, dans les massea, un état esprit favorable a une sürgit en concurrent sérieux sur le marché mondial pour la fonte le pourcentages direction communiste du mouvement autour du parti deul se poursuivri la luttesa par rapport la production mondialo pape de 6:5 en 1913 a 110. en 1929 14:7 iten Séparation des responsabilités qui doit accompagner avao la proolamation de 1931, 13. en 1932. ot 12:0 en 1933 la Franco passe du deuxième rang après les Etats, Ta disolpline dont communiates jusqu au moment fou losi oonditions so geront Unis. En ce qui concerne acier, la progression est moins, impressionnante, soit doi onfin, présentées pour passer direotion de la lutte. Cette notion est la seule, en 1913, 17. en 1929 et en 1933, plaçant la France au quatrième rang seu condition possible pour permettre le mouvement et elle a rien voir aveocles malement. Cependant, la progression des exportations de produits métallurgiques Tolvregla jst continu qui transforment la lutte ouvrière en une entreprise de conest remarquable et en 1920, elles passent peu près du simple ay quadruple Tels ourronde loyale ou déloyale. qui laisse les ouvriera non unja dans la lutte contre sont les fruits de la politique tenace, féroce, des. réparations. récoltés sur les ennemi et les net devant le match que socialistes et communistes disputent entra.
chair du proletariat; allemand, eux pour la salut de leur boutique respective. Cette politique est conjuguée aveo delle de encarclement de Allemagne part Et jusque maintenant toutes les manquvres de front unique, ont été qu une des Etata vagaaux de la entreprise quo soợialiates on comunistes i) imaginaient pour leur lutte réciproque. Europe Centrale est parce que les mouvements dea massedi et leurs intérêts étaient nullement ec la Belgique, la Pologne, la Hofigrie Autri: les objégtifs de cea manoeuvres, que le front unique a constamment représente lexo cho, la Petite Entente, favorisait non seulement laffaiblissement de Allemagne, pédient pour abfuzor le maintien influencea contre révolutionnaires parmi le. mais asaurait aussi la France des sources de matières premières (charbón pola massen, de influence socialiste ou centristes est pour cela que le capitaliśme; naisa pétrole et ble roumains. Aujourd hui la cargue te disloque: pacté allemand malgré les proclamations répétéos de front unique par en haut, par op bas; par en polonais, manquvres du fasciame italien; chute de la social démocratie jauttihaut et par un abas; organisation organisation avec la base et bontre lesom, chienne met a fait ou enregistrer des avicct dans le cours de son offensive et nous BOTAy Par: apport des mines de la Sárre; la production charbonnière française, la meg arrivés la situation actuelle où la pulvérisation du mouvement se fait simulaugmenté en 1920 41 sur 1913 et bien que les besoins intérieurs se soient tanément a la proclamation hypocrite de tous les groupes sur la nécessité et la fortement accrus, volonté de réaliser le front unique congu, Don sur le front des intérêts des mangos, en 1913. Mais exploitation des mines est plua onéreutae qu en Angleterre, en Bol.
hais sur le front des intérêts de la boutique laquelle on appartient.
gique et en Allemagne. elles ne produisent qud: des. charbons industriels et leur distribution est entravée, une part, par des tarifs ferroviaires élevés, autres 10.