CapitalismDemocracyFascismLiberalismSocialismWorking Class

14 listes différentes, sa capitale écartelée. hydre fasciste a été terrassée, ses partis mis hors la loi, lours chefs jugés pour crimes de guerre, des commandos de justiciers font la chasse aux anciens tortionnaires des camps extermination.
La victoire des nations démocratiques sur le fascisme est définitivement acquise, pourtant les impérialismes, peine sortis de cette fournaise, fourbissent des armes redoutables, et entretiennent des conflits isolés.
Ils appliquent ces paroles belliqueuses: situ veux la paix, prépares la guerre. tout en parlant entente fraternelle entre les peuples.
Deux blocs impérialistes dominent le monde, et un troisième interpose pour un nouveau partage des sources de matières premières et des marchés mondiaux.
En attendant le III conflit, tous se retrouvent solidaires pour frapper indiscipline sociale, et rettarder, de la sorte, heure fatale de la debacle économique.
Ceci est également vrai pour les prétendus pays socialistes où Etat est unique exploiteur de la force de travail, que pour le capitalisme du vieux monde.
Dans le premier camp, les travailleurs sont massacrés au nom du socialisme, en face pour la sauvegarde de la démocratie.
Si on considère la remontée prolétarienne comme les premi éres fissures dans équilibre capitaliste acquis en taillant dans la chair vive de millions de travailleurs égarés sur le champ de bataille de 39 45, on peut voir se profiler l horizon un avenir prochain, une ére de guerres impérialistes accompagnées de révolutions prolétariennes mondiales.
Pendant son ultime phase impérialiste, le capitalisme est mis dans impossibilité de développer les forces productives de humanité. Son dernier recours est le convertir énormes quantités de forces productives en futures forces destructives.
Il se convulse dans des douleurs annonciatrices de son effondrement, et plus il en mirroche, plus ses tendances dictatoriales et liberticides accentuent.
Sur cette base, il ne peut plus accorder aux travailleurs ni amélioration matérielle ni réforme sociale effectives. Les libertés conventionnelles et autres droits politiques que les ouvriers avaient obtenus par leur lutte sous le libéralisme sont laminés.
Chaque revendication salariale armchée sous la poussée de action directe est, bref délai, annulée sous effet de augmentation de la productivité du travail et des prix.
Pour sauvegarier son taux de profit, le capitalisme décadent doit, coûte que coûte, reprendre les concessions antérieures.
Face cet ensemble de faits, la méthode démocratique, en tant qu instrument annihilation de la conscience du proletariat devient caduque.