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47Il existe deux avenirs, un lointain et un immédiat. Mais les deux dépendent du rétablissement de la rentabilité des capitoux en pit de qui contrôle ces capitaux:individus, trusts, ou gouvernement. La différenciation qui existe entre le pouvoir conomique et politique permet de pouiller Pierre au profit de Paul. Mais la fin, ce processus appauvrit les deux.
Le problème ne consiste pas savoir comment partager le butin, mais comment créer des profits plus grands, et toujours plus grands. Mais les nécessités immédiates de tous les capitalistes ne mènent qu une seule fin, la destruction progressive pour le temps qui vient de toute base du système de profit. Sur la roue du capitalisme, si fin mortelle est déjà en vue, tant en période de prospérité qu en période de crises. Et nous nous en réjouissons.
UND FIN DU CAPITALISME, MEME PLEINE DE TERREUR, EST TOUJOURS PREFERABLE UNE TERREUR SANS FIN.
AUSSI, SALUONS NOUS LA CRISE. Publié une première fois dans INTERNATIONALE (août 38, N038. revue mensuelle de Union Communiste cet article était traduit de LIVING MARXISM (mars38 du Groups of Council Communist. est dire par le groupe de camarades américains poursuivant le travail théorique de la tendance Gorter Pannekoek. 00