Capitalism

42Le déclin actuel avec sa crise générale ont surgi brusquement, de la même manière que la dépression elle même. Les prix des obligations ont baissé la fin de 1936. Les prix des marchandises en stok les ont suivi en mors 37. Les intérêts court teme ont augmenté, les prix de gros ont baissé. Tous les signes indiquant insuffisance de rentabilité ont réappari.
Ce qui ne fait qucun mystère ici. Seul un accroissement de la pompe amorçage aurait pu mitiger ce processus, mais cette politique a aussi ses limites. Seul un renforcement plus grand des tendances au capitalisme Etat. accompagné une plus grande misère du secteur économique privé aurait pu ajourner le dilemme actuel, et seulement ajoumer.
Le nouveau déclin présentant tous les symptômes un début une longue période de pression a, une fois de plus, fait surgir toutes les vieilles suggestions et propositions dont était montrée fertile la période pr cédente. On commence redemander de nouveau un eccroissement du pouvoir achat des masses. principalement dans la presse libérale et ouvrière. Bt ceci malgré fait si bien souligné par DW. Ellsworth, dans Annalist du 21 janvier 1938. La présente dépression a démontré une fois de plus, mais une façon encore plus impressionnante, la fausseté de la théorie du pouvoir achat sur le cycle affaires. Le pouvoir achat des masses de ce pays a jamais té aussi élevé qu au moment où a commencé la pr sente dépression.
Le pouvoir achat des masses a été créé en partie par une plus grande exploitation, et en partie par les mesures gouvernementales mentionnées plus avant. Puisque celles ci se sont limitées changer ou créditer le pouvoir achat existant elles ont servi qu étendre la misère auparavant. Né en grande partie des mesures gouvernementales, le pouvoir achat des masses fut donc un autre facteur empêchant le retablissement de la rentabilité qui seule permet une expansion capitaliste réelle. In nécessité de telles mesures ne change pas le fait que cette ncessité exclut cette autre nécessité, savoir la rentabilité des reprises exploitation. Toutefois, le capital privé a combattu ces mesures par autres slogans comme: quilibre du budget, abolition de la réglementation, opposition la législation ouvrière.
Le capital est pas quelque chose uniforme accordant pour une simple cessité. La simple nécessité, est dire le maintien du système exploitation capitaliste, est réalisée que par une lutte entre les capitalistes eux mêmes, nationalement et internationalement, et entre capital et travail et les