21Entre crises cycliques qui ont máriodiquement ébranlé appareil capitaliste, exprimant la disproportion entre le trop de production pour le trop peu de marché, is eroportion sans cesse corrigée par la conquête le nouveaux marchés puisqu il en restait encore quelques uns, et décadence, il faut soignousement distinguer.
Après Marx, Engels et Rosa Luxembours, nous inclinons penser que la décadence se rattache l impossibilité :l extension du marché nondial. l âge de sa naturité, le capitalisme cesse accumuler au rythme rapide de ses débuts. Il est la recherche de pays et de branches où la faiblo composition organique du capital (peu de Capital constant, beaucoup de Capital variable) permet de réaliser excellents taux de profit, e marchés et professions extra capitalistes pour écouler sa production. Mais, il en trouve de moins en moins, et ceux qui existent encore sont enjeu les disputes terribles que se livrent les grandes puissances pour en avoir le controle. Parce que les débouchés et territoires extracapitalistes sont de plus en plus effacés de la carte du globe par la marche irrésistible du capitalisme, les possibilitís de ralisation de la plus value ayant toujours tendance disparaître, se ritrécit aussi le taux de profit.
Cette tendance continuelle la baisse, le capitalisme la conbat par la réduction des salaires réels, par une prolongation et une intensification de la journ e de travail. La lutte des ouvriers exigeant des augmentations de salaires et un raccourcissement de la journée de travail, narce qu elle contribue grandement faire chuter le taux de profit, est une lutte mort contre ennemi.
La baisse tentancielle du taux de profit indique et mesure le degré de pourrissement du capitalisme. Dès instant où observe ce phinomène, la ronroduction élargie qui exige la fois des biens de production et des biens de consommation, et de la force de travail se restreint.
Pour réaliser la plus value, le capitalisme a besoin de marchés qui puissent absorber des quantit de plus en plus missives de marchandises. Il lui est in ispensable envahir et exploiter, hors des frontières des tropoles, ces zones extracapitalistes, qui passent, leur tour, au stade capitaliste. Le ca italisme est pris dans cette contradiction:ou il reste casanier, végte, étiole, puis disparaît, ou il conquiert les territoires vierges, les intègre dans le circuit capitaliste, et crée de nouvelles conditions de concurrence se retournant, en fin de compte, contre lui. 3t pourtant, il doit continuer son processus alaccumulation, élargissement imposé par les terribles lois de la concurrence.
En définitive, il conne naissance des forces contradictoires qui détruisent son mécanisme inteme auto régulation. est dans