IIme montée sur le trône la faveur de la Révolution de juillet 1830. faite sous le signe de la revendication du suffrage universel.
La bourgeoisie républicaine, tenait enfin entre ses mains les destinées de la France. Mais, immédiatement elle tenta de se soustraire aux prolétaires parisiens dont le combat sur les barricades lui avait servi de marche pied. Les travailleurs avaient aidé la bourgeoisie dans espoir obtenir une République sociale qui leur garantirait le droit au travail.
En manière de social, la bourgeoisie nouvellement promue, remplaça dans les Ateliers Nationaux les salaires la journée par le salaire aux pièces, bannit en Sologne certains ouvriers, et donna aux jeunes travailleurs célibataires choisir entre ces chiourmes ou leur enrôlement dans armée.
Ces mesures draconniennes allumèrent la première guerre vraiment civile en France. La grandiloquente fraternité. tant vantée par les républicains dans les banquets agitation pour la réforme fiscale et le suffrage universel, avait vécue.
Dans cet affrontement, sur lequel Marx nous a laissé un important matériel étude, la bourgeoisie nena une guerre impitoyable contre son allié de la veille qui, spontanément organisa, non plus pour obtenir une amélioration de sa condition dans le cadre de son esclavage, mais pour faire triompher son propre pouvoir.
Après la éfaite, économie engagea dans la voie une nouvelle prospérité, et le cours ultérieur du mouvement ouvrier devait en étre changé.
De ce retour un veloppement régulier des forces productives Marx fut amené reconsidèrer son appréciation de la situation. Il estima, en parfait accord avec Engels, que la fin progressive de la crise interdisait la possibilité un nouveau soulèvement, du moins pas avant une nouvelle crise. La classe ouvrière, si généreuse futelle, était encore incapable accomplir sa révolution de classe. Une nouvelle révolution est possible qu la suite une nouvelle crise. Marx Nouvelle Gazette Rhénane. oct. 1850.
Tous deux engagèrent la lutte contre le parti activiste de Weitling, qui escomptait pour sa part, la proche fin des oppresseurs du peuple. Weitling avait souffert la prison pour ses idées, et jouissait une grande considération dans les milieux révolutionnaires, ce qui rendit encore plus difficile la lutte théorique de Marx et Engels. Parce que ces derniers avaient déclaré que rien de sérieux était attendre avant explosion une nouvelle crise économique, ils furent traités comme des renégats de la cause révolutionnaire, et accusés de vouloir, alors que heure était l action