UN HERAULT DU CONFUSIONNISIE: 110. 11 La rísurgence des luttes ouvrières entamée depuis quelques années, conséquemment l aggravation des difficultés du capitalisme, a entraîné la prolifération des idéologies extrême gauche. ten lant toutes, soit dépasser ancien appareil stalinien (remplacer les méchants bureaucrates par de bons dirigeants trotskystes, et les traitres visionnistes par authentiques révolutionnaires maoistes. soit lonner une nouvelle jeunesse l anarchisme.
La plupart de ces groupes ont manifestenent pas de place dans le camp du prolétariat et leur phraséologie révolutionnaire cache de moins en moins la nature bourgeoise de leur pratique.
Il en reste pas noins vrai que ces courants perpétuent la confusion dans laquelle se débat le mouvement prolétarien et dont ils sont issus. est pårce que ces gens là dátournent le prolétariat sur des voies sans issues, parce qu ils renouvellent des erreurs lepuis longtemps démontrées, parce que, enfin de compte, ils repr sentent des dangers pour la clarification théorique aujouri hui cessaire, qu il nous faut en faire la critique.
Tel est le cas de 0. organisation qui, si elle se garde bien de retrícir la voie la révolution, en tient pas moins sa place dans le choeur des raults du confusionnisme et de opportunisme.
Une telle critique est pas chose aisée car éclectisme et hétérogénéité des positions théoriques de ce groupe, ont pour conséquence fâcheuse mais logique, un foisonnement attitudes ambigues, sinon contradictoires, dans la pratique.
Sur la question des syndicats, repr sentant elle aussi une frontière de classe, le moins que on puisse ire est que attitude de 10. est fort ambique. est ainsi que la première page du I de GUERRE DE CLASSE (nov. 71) est consacrée la dénonciation des syndicats flics (dont et T) et de leurs manoeuvres opportunistes. Ce qui empêche pas de trouver la page un communiqué C. nous informant que le gouvernement et le patronat veulent 11