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mouvement de panique passé, la bourgeoisie française se rassurait;le parti communiste avait il pas rejeté son vieil anti militarisme? Ne promettait il pas de voter, par ailleurs, les crédits de guerre?
En contraste avec son ancienne politique de classe contre classe. le parti communiste se rapprocha des démocrates bourgeois et un parti radical particulièrement vomi des travailleurs. Maintenant, il tendait réconcilier la nation françaisc. bref collaborer l expansion du capital français selon les voeux mêmes de Staline. Staline, disait le communiqué publié Moscou au cours de la visite de Laval, comprend et approuve pleinement la politique de défense nationale faite par la France pour maintenir sa force armée au niveau de sa sécurité. Moyennant quelques réformes jetées en pâture, les travailleurs devaient armer pour écraser le monstre fasciste qui menaçait la paisible existence de la Russie soviétique la patrie du socialismeet qu il rêvait de dépouiller immenses territoires. Et comme le fascisme était une production typique de Allemagna, celle ci levait, une bonne fois pour toutes, être réduite au silence. Alors les peuples baignant dans la félicité démocratique connaitraient une vie meilleure, les acheminant, pourquoi pas, vers le socialisme.
Les travailleurs donnèrent fond dans le piège anti fasciste, pendant que le se promettait de rendre la France plus forte par le travail honnête. Īrremplaçable dans cette besogne de spoliation, il devint artisan actir une politique nationale de fermeté et de production de guerre.
Dans ambiance alors, rares furent les noyaux qui hésitèrent pas aller contre le courant, concentrer le feu de leurs critiques sur la politique économique foncièrement capitaliste du Front Populaire. De petits groupes communistes, agissant dans des conditions extrêmerient difficiles, essayèrent de porter au grand jour escroquerie du gouvernement de coalition socialo communiste. En voin tentèrent ils de démontrur que le Front populzire avait rien de commun avec la lutte du prolétariat, et avec le mouvement marxiste qui représente seul cette lutte et son butque déjà, la plus féroce des répressions orchestrée par les stalinistes abattit sur eux.
Par contre, de prétendus oppositionnels trotzkystes et les socialistes de gauche, appliquèrent comme de bons écoliers faire la démonstration de utilité du Front populaire. Ils laissaient entendre par là que la forme de direction politique bourgeoise assumée en occurence par le socialiste Blum était pas une organisation de la clas se capitaliste.
Empêcher toute clarification, exagérer sciemment la portée du programme des réformes sociales, encourager les masses les fendre, travail ler au redressement des partis et syndicats ouvriers. appuyer de extérieur le gouvernement bâtard, voilà quel fut le réel travail historique de opportunisme trotzkyste.