venaient assurer la main mise de Etat sur toutes les astiritha et étranglaient la révolution anciale. En 27. on ad amit 209 patrullas de control. ensembles ouvriers armés. Les forces de armée durent être directement dirigées par Etat et ne pas être affiliées un mouvement politique ou syndical. Les réactions furent violentes. Le gouvernement de compagnys éclata. Il en refera un autre avec la participation CNT UGT etc. mais la situation restait explosive. épreuve de force était inévitable.
Elle commença avec les communistes de participer au défilé du premier mai avec les anarchistes, tandis que la police se livre aux actes ordinaires de provocation. Le mai, action gouvernementale se déclanche. La police attaque l immeuble des téléphones sur ordre du ministre de Intérieur, Ayguade (membre du parti de Compagnys. l insu des membres anarchistes du gouvernement, et opérant par surprise occupe jusqu au étage, mais doit arrêter là par suite de la résistance des ouvriers l intérieur. Ia CNT proteste au prés du gouvernement qui parle de malentendu, de faire retirer les troupes, mais qui le lendemain fait occuper le palais de Justice. Les ouvriers de la CNT FAI et du POUM descendent dans la rue, les barricades se dressent, la bataille engage. Elle durera trois jours et fera 500 morts.
Le gouvernement justifie son action par le fait que la CNT possède immeuble des PTT et y a installé des tables écoute (I)
Curieux argument! En fait, immeuble est légalement collectivisé, la CNT y est majoritaire comme partout.
13) Signification politique des Journées de mai.
Krivitoki, un agent de Staline, a dit que les journées de mai étaient déjà prévues par les communistes qui désiraient épreuve de force et espérient même pouvoir du même coup remplacer Caballero par Negrin, jugé plus souple. La provocation de la police a pas dans le fond autre but. La bataille de rues commença donc aprés occupation du palis de Justice. Cette bataille décisive aurait dû signifier la défaite de la contre révolution mais les leaders anarchistes offrent leur conciliation, est dire, volent au secours du gouvernement. Celui ci refuse cette conciliation, mais les dirigeants en continuent pas moins exhorter les ouvriers déposer les armes au nom des combattants du front, de la lutte contre Franco etc. Les dirigeants anarchistes les plus en vue viennent Barcelone. Certains, vexés, considéraient que on avait voulu se débarraser eux, autres que la CNT avait trop longtemps participé, mais tous, dans le fond, sont prêts rentrer (I) Il est pas sans intérêt de remarquer que cet argument a été avancé par Jean Comorera, dirigeant du parti communiste, et avec pas mal de mauvaise foi. La CNT a également publié un manifeste où il semble prouvé que Comorera aurait conspiré avec des membres du parti de Compagnys pour réaliser indépendance de la Catalogne.