pour le Front: Populaire dont le programme est des plus faibles. la national: sation de la terre elle même y est abandonnée. Suivant la politique russe, le parti communiste glisse fortement droite. Apiás les élections de 1936, il reçoit 16 sièges au ParIement(chifíre disproportinnéà leur force réelle. Il a évidemnent une politique de division de la classe ouvrière et cherche en fait instaurer la dictature bolchévique. Les štaliniens cherchent noyauter les partis socialistes là où 11s sont faibles (c est dire en Catalogne) et fondent avec eux le Ils soutiennet les ennemis traditionnels des anarchistes: boutiquiers, certains intellectue Is prolétaires en faux col, républicains bourgeois. Ils exploitent ensuite le scission de UGT. Génés un temps par adhésion de la Russie au pacte de non intervention, ils se trouvent renforcés lorsque celle ci intervient. 000 russes viennent en Espagne. Ce sont en majorit. des experts militaires et des membres de la Largo Caballero paie de 500 tonnes or cette aide un nouveau genre. Stachevski vient pour prendre en mains les finances, Berzin armée; ils opposent tout de suite aux collectivisations. Avec aide une grande partie des Brigades Internationales (qui ne contenaient pas de russes. ils approprient 90 des postes clés du Ministère de la guerre. De plus, ils se livrent la liquidation systématique des révolutionnaires trangers venus en Espogne, qui pouvaient connaitre buts et méthodes du wremlin. Le 16 décembre 1936 la Pravda écrivait. En Catalogne, la destruction des trotskystes et anarcho syndicalistes a commencé; elle sera menée avec la même énergie qu en Russie.
Ils installent vite leur terreur. Ils ont leurs prisons, leurs chambres de torture (les préventoriums. qu on ne peut visiter même avec un sauf conduit du Ministre de la justice (on doit si adresser directement la Tchéka qui refuse. Ils ont enfermé.
comme agents de Franco des poumistes. On dénonce bien, alors, ce scandale; mais ces quelques remous furent vite apaisés, et les staliniens purent se présenter comme défenseurs de ordre contre les trublions anarchistes.
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Les Journées de moi Barcelone.
Caballero, au début de mai 1937, avait tant soi peu rétabli autorité du gouvernement avec aide des communistos dont il pensait se servir, puis se débarrasser comme il le faisait pour la CNT. Mais ceux ci, l inverse, trouvaient Caballero insuffisamment docile et voulaient également en débarrasser. Caballero était sép? ré de ses troupes de UGT et se trouvait en fait en position de faiblesse. Les communistes pour arriver leur but voulurent abord se faire du POUM et de la CNT FAI avec aide de caballero, et ensuite de celui ci. Dès le début de 1937 ils commencèrent les provocations. Le 12 janvier 1937, le gouvernement de Catalogne prit, leur instigation, 58 décrets qui re