a Notre rigueur do pensée est pas ce qu on appelle sectarisme, lequel est avant tout un comportement. Là où nous travaillons et vivons, nous cotoyons des adversaires de tendance, et nous ne prétendons pas que notre vérité est la vérité, car nous savons bien que notre vérité demande être vérifiée, et donc modifiée, dans une confrontation permanente avec nos compagnons, et surtout avec les faits au cours des luttes. Nous cotoyons aussi quotidiennement des adversaires de classe, affirmés ou en puissance. Nos rapports avec eux sont obligatoirement très diversifiés, allant de hostilité totale la discussion patiente et même parfois fraterelle. Un compegnon, de travail stalinion ou trotskyste, un jouno ouvrier maoiste, un étudiant ESU, etc. nous savons bien qu ils peuvent évoluer comme nous avons évolué nous mêmes avant de devenir communistes de conseils. Nous savons par ailleurs que les faits apportent constamment de cau notre moulin. Pourquoi donc scrions nous sectaires. Et pourquoi nous laissorionsnous aller l outrance dans nos critiques. Sectaires, nous le sommes autant moins que nous offrons ni dogme, ni catéchisme, le marxisme est tributaire de évolution de la lutte des classes, rien est figé il y a pas de raison pour que la théorie le soit. la référence constante aux écrits de Marx relève une conception idéaliste de la théorie préexistente la lutte et séparée mécaniquement elle.
La conscience communiste demeure ouverte, après examen critique, aux apports de la recherche sociologique, économique, philosophique, politique, culturelle, sans jamais les admettre comme tels (comme sociologique, économique, ctc. est dire sans jamais se parcelliser ni perdre son caractère ce totalité organique. Les premiors numéros de nos Cahiers en font foi. Pas de dogme, donc pas orthodoxie défendre. Pour nous cela est en contraction avec certaines clusions de Marx est pas équvalent de est faux. On ne le répètera jamais assez Marx a vécu que de 1818 1883, essence du Marxisme est la méthode et aucun mysticisme idéologique ne nous empêchera appliquer cette méthode aux écrits de Marx. Toute théorie est qu un outil toujours imparfait, et non la référence suprême pour cataloguer et étiqueter les hommes et les faits. Notre souci constant est ailleurs de repartir toujours du concret, de actuelle et dynamique réalité, pour rajeunir les bases théoriques de notre compréhension du monde moderne, et non de rechercher pieusement dans les oeuvres con