BolshevismGermanyStalin

37avec le parti et sa police secrète. cet égard, et en général, les managerg des secteurs non militaires de la vie sociale ont des intérêts identiques ceux des chefs militaires. armmée comme instrument de la nouvelle classe, se dessi. e déjà dans la lutte contre la toute uissance du parti, de sorte qu la mort de Staline, qui devenait le motif pour avancer sur le premier plan llantith se entro le parti et la nouvelle clasae, ce furent les doyz instruments de pouvoir de ces corps qui se valaient un autre dans le conflit toujours latent.
Et ici, la police secrète se icontra trop faible.
La lutte ne est pas faite en toute violenco, elle s, pas été décidée et elle a pas abouti non plus une dictature militaire, bien au contrai9. home qui lors de la déstalinisation fit pencher la balance, le chef de Armée Rouge, Youkhov, a dû cèder sa place Malinoswsli, dont on dit qu il est un bolchévik de la vieille souche, donc partisan de la toutepuissance du parti. Et il y a que quelques jours que nous avons appris la démission de Boulganine, et que on a placé un poste où il ne peut pas exercer une grande influence politique. Cet exemple montre le refoulorent des chefs militaires, devant faire place ceux qui tolèrent une plus grande influence du parti.
Le retour l ancienne politique (nous expliquerons plus loin pourquoi nous avons ais retour entre guillements)fut temporairement rendu nécessaire par les mouvements dans les Etats satellites. si Staline avait pas eu la sagesse de mourir temps, les antagonismes se seraient tant envenimés que lo conflit, né aprés sa mort, curait pris des formes plus sévères, et aurait provoqué une lutte plus violento. atmos;hère était chargée et les tensions se seraient sûreme. déchargées avec une résistance plus formidable de la part du porti, Actuellement tout se passe doucement, et les évènements en Allemagne de Est, en Hongrie et en Pologne ont donné au parti le vent en poupe.
Comme nous le savons, antithèse est manifestée abord dans les plus hautes instances des managers politiques. Que désiraient ces derniers? Ils voulaient une plus grande liberté, pas de menace mortelle sur leur personne, et la possibilité de servir la politique, la gestion générale de Etat. Pour rendre celà possible, on doit être même de décider librement. Mais cette possibilité, ainsi que le manque de liberté, se propagent de haut en bas, automatiquement, vers les fonctions inféricures. Ia conception qu une plus grande indépendance des fonctionnaires gérants