Socialism

39pays, y compris les ETATS UNIS, ont jamais atteint le niveau de production avant la crise. La prospérité, est comme le socialisme de Staline:des inégalités plus grandes en vue de nouvelles réalisations. Les pays totalitaires ont été les plus actifs;les pays démocratiques. ayant pas la possibilité obtenir du trvail pour rien, furent moins atteints par le manque de matières premières. Mais maintenant, la crise peut redresser beaucoup injustices;et défaut, 12 guerre peut y aider.
Quelle fut donc cette nouvelle prospérité, que nous avons pas enregistrée et qui see trouve de nouveau en souffrance?
Arthur Gayer nous fournit une rýponse dans The New Republic du février 1938. Il dit. La prospérit; qui a prcédé cette crise extraordinaire était très particulière et certains égards, elle était point en accord avec les règles des manuels. Normalement, le prospérité prend son point de départ dans un accroissement des investissements privés et dans une expansion accélérée des industries produisant des marcandises valeurs usage.
Par ce temps de grande envergure, est le gouvernement par ses penses qui a pris sur lui le rôle impulser la repri.
se. Mais espoir qu après un court moment, les demandes crues des sources privées pourmient remplacer la pompe amorçage qui se soutient elle même et donne naissance une prospérité ferme, ne est pas réalisé. Du moment où les dépenses publiques cela destinées se sont arrêtées, la reprise elle aussi est arrêtée net.
Cette réponse peut être pas entièrement satisfaisante, mais elle met bien les choses leur place. Dans quelques parties du monde, de nouveaux investissements ont eu lieu de la façon traditionnelle. Par la rationalisation et par des amén liorations techniques, industrie privée était en partie capable élever 19 productivité des ouvriers assez haut: pour, malgré la dépression, être en mesure de tirer des profits et élargir expansion. Mais, en général, la crise a été surmontée dans les différents pays par ce qu on appelle plans gouvernementaux et qui impliquiient surtout des manipulations monétaires et de crédits. est dire que le capital a été rendu profitable, et par conséquent productif, en rejetant le fardeau de la crise sur autres nations ou en puisant dans la masse ginérale pour donner aux capitalistes.
in admettant même que tous les facteurs agissant sur 12 prospérité jouaient déjà, sous une forme plus ou moins diffrente dans les années de dépression jusqu en 1932, il res