34bolchévik. Néanmoins on peut aisément voirla ressemblance de principe entre la décision du Ier Congrès économique de toute la Russie de Mai: 1918 qu une nationalisation éventuelle des usines ne pourrait se produire qu avec le consentement des conseils supérieurs économiques ou le conseil des communes du peuple ou le décret du 17 Mai 1921 qui défendait la confiscation des entreprises en Russie et la mesure Chinoise du Septembrc 1949 défendant aux ouvriers même dans le secteur privé de faire la grève. Le prolétariat russe se sermit de méthodes nouvelles. la classe ouvrière en Chino, beaucoup plus faible se contentait de armc classique de la grève, mais dans les deux pays, la législation se dirigeait contre la pratique des ouvriers. Derrière le masque de la soit disant dictature prolétarienne on découvrit, en Chine, comme en Russie les traits du capitališne 34 En Chine comme on Russie, il y avit une contmdiction entre ce que le régimo bolchévik prétendait être et ce que ce régime était en réalité. Dans les deux pays, cutte constatation menait une discussion sur la question syndicale dans laquelle on évitait avec précaution de dire la vérité.
Quand même les faits parlent un langage assez clair, En 1952, les syndicats Chinois sont épurés des fonctionnaires qui comme on le dit se laissent trop moner per les ouvriers, qui montrent trop de soins pour luur niveau do vie uu tiennent trop leurs droits. On organise des réunions dans lesquelles on attaque ceux qui ne comprennent pas que des grèves soient permises et nécesscires dans les pays capitalistes et superflues dans un état socialiste. On lance une compagne contre la nonchalance dans la discipline du travail tout comme autrefois en Russie, Trotsky plaids pour uno discipline du travail essez dure. Celui qui fit le nouveau statut du syndicat général Hou Tchi Tchen décloro. Il est plus comne autrefois du devoir des syndicats de bunur une lutto socicle pour la chuto du uitalisme. En 1953, on constate su 7ènc Congrès des syndicats chinois qui los intérêts dirocts et égoïstes de la classe ouvrière doivent être subordonnés l intérêt de