Hitler

46tous doit faire place une exploitation soigneusement planifiée;le pouvoir du capital doit être augmente grice la sagesse du gouvernement. Que dans les mêmes conditions la concurrence procède ici de façon se soutenir elle même, et qu ailleurs ce soit la sagesse du gouvernement, comme actuellement en ALLEMAGNE, qui liquide des capitalistes juifs, ou comme en AMERIQUE qui liquide les entreprises plus faibles, ceci est la base de tous les arguments contre une réglementation centrale. Car ceux qui sont en faveur de encouragement de la concurrence savent fort bier que éliminations de la concurrence est une autre forme de concurrence qui fait eux des sacrifiés.
Contrairement ce qui est arrivé au sage Ben Akiba, rien apparait deux fois. Ceux qui croient que la nouvelle dépression va immdiatement réchauffer un peu plus les inconséquences du New Deal se tropent. Ceux qui croient en une seconde révolution Roosevelt, sans effusion de sang, en faveur des masses. seront désillusionnés conne a été Roehm quand Hitler le lui a fait croire. Car les mesures appliquées par administration de Roosevelt ont été dépensées jusqu ici sans utilité.
Des mesures plus rigoureuses doivent suivre, mais plus dans la vieille direction, car aussi longtemps qu il est possible de attaquer aux affaires. le gouvemerent peut appliquer la formule:diviser pour règner. Mais quand affaires et gouvernement deviennent de plus en plus identiques, le gouvernement devrait attaquer lui même. Il oubliera donc la division et saura seulement régner. Tristement le professeur Robbins de Ecole 2conomique de LONDRES, clore dans Annalist. Dans la plupart des cas, les vrais expédients qui ont été adoptés dans la dernière dépression, ont empiri la capacité de résister une nouvelle dépression. préciation de la monnaie, budgets siquilibrés, vistes programmes de travaux publics, sont les negures l ide desquelles le travail a été stimulé dans le passé récent. st il est clair que ces mesures ne peuvent pas être appliquées indéfiniment. Par conséquent, la position actuelle est pas stable; et il faut attendre un rebondissement une longue crise, avec des conséquences vraiment graves. Il est pas exagéré affirmer que le sort des institutions démocratiques est dans les mains de ceux qui ont en leur pouvoir de faire revivre la confiance. ce qui veut dire dans les mains du gouvernement. Mais la réponse ne réside pas dans la direction qu espère le professeur Robbins. Comme a remarqué récemment Roosevelt, les forces démocratiques seront la fin forcées de prendre la place de dictature.