Si par quelqu intervention artificielle cet ordre naturel était troublé, il chorchait se restaurer. une pierre lancée tombait terre, le feu montait, etc. mais une fois dans la sphère élémont devait reprendre son état naturel. le repos.
Les corps célestes, pourtant, tournent visiblement un mouvement circulaire éternel autour de la terre et ce mouvement est laur état naturel évident. On en concluait donc qu ils dem vaient être formés un principc entièrement différent des chosos terrestres. ils constituaient la sphère de éther.
la philosophio écclésiastique du Moyen Age avait emprunté cette ime. ge de univers aux Anciene, mais avec une différence. elle ne parlait pas ordre na turel mais ordre divin universel, tout come ordre social de cette époque prétendait tre origine divine. Cet ordre était ailleurs en parfait ас ord avec la doctrine de sglise. Il était pas seulement un fidèle reflet de la hierarchic occlésiastique, mais traduisait le fuit que toute la population du ciel religieux occupait intensiverent ot oxclusivement des choses de la terre. ceci ne pouvait expliquer que par la position centrale du monde.
Un des pionniers de la science bourgeoise Giordano Bruno (brulé en 1600 comme hérétique) a tourné en ridicule cette opinion dans une plaisante allégorie où le monde des saints et des anges de la riligion catholique est remplacé par oI vmpo dis divinités gréco romaines. Mercure y plaint uno besogno urgente que Zeus lui a enjoint accomplir séance tonanto sur terre et qui a rapport avec les poils de verruc al une vicille fille et le sort un quelconquo coléoptère. Sans doute existent ils autres problèmes comme par exe: ple la paix et la guerre, mais il faut craindre que Mercure aura pas le temps de en occupor et qu il laissera la solution hommes cux mêmes.
Giordano Bruno était zélé prop agandiste une image plus moderne de univers, que Copernic avait déjà proposée avant lui, où la terre no serait plus qu une planète tournant autour du soleil, où les toiles seraient autant de soleils, centres eux aussi do systènos planètaires un mouvonent, remplissant un univers infini. Sa doctrine se trouvait en opposition avec celles des églises catholiques, luthériennes et calvinistos que ailleurs il critiquait, öt il était tout juste toléré. Il voulait que le monde fut régi du point de vuc de la sagesse bourgooisc et pas sculcncnt partir de dogmes ecclésiastiques.
Mais la sciunca bourgeoise ne pouvait parvenir un dévoloppemont réel avant de être affranchie dos limitations que le Moyon Age avait apporté aux zéthodes études, Copernic avait défendu son système que par des arguments appuyant sur la raison et Giordano Brino était avant tout un philosophe un comme autre défendaient leur systère comme meilleur et plus natural que le système classique. Co fut Gulilée qui commença les premières expériences dignes de ce nom. Il dénontraexpérimentalement que la situation naturolle des objets aux