au. thode de production plus perfectionnée, sait que les avantages qui en résultent seront perdus dès que cette méthode sera appliquée généralement. Il ne se sentirait pas enclin avancer le capital nécessaire il ne pouvait se protéger contre imitation de sa nouvelle méthode par les concurents. est de là que découlent los protoctions par brovets invention, secrets dc fabrication, etc. Sans olle, dans les conditions du capitalisnc, les résultats scientifiques ne trouveraient qu avec beaucoup de peine leur terrain anilication. La tundanco protectionnisme accroit autant plus que le taux de profit décroit et que accroit le capitalisme es monopoles. Elle est surtout importante pour les grands trusts qui peuvent entretenir lüurs propros laboratoires, leur propre recherche scientifique. Un brovo tant beaucoup do modifications mineuros de lours méthodes de fabrication, ils se protègent contre de nouvelles découvertos de leurs concurunts moins igortants, qui se heurtent toujours ainsi quolque brevet. Ils peuvont donc attendre tout en introduisont des an liorations, que leur produit ancien soit vendu ou que lours vieillcs machines soient hors usage.
Néanmoins cetto protection est pas absolue et application une méthode vraiment nouvelle finit toujours par se généraliser et la bourgeoisie finit par approprier, en tant que classe, les nouveaux résultats scientifiques et los nouvelles méthodes de production.
Ainsi, ct en tout premier lieu, la science resto posséssion de la classc bourgeoisc. La protection par brcvet a di aillours de sons que pour los applications tochniques plus spéciales ayant unc valeur usage immédiate, pouvant être appliquée diroctement la production. Pour la science en général, cette protection ost absolument sans valour. Ce est on fait ni par les brevets, ni par les secrets de fabrication, ni même par le fait qu elle finance la recherche, que la bourgooisie protège son droit de propriété sur la science, mais assentiellenent parcequ elle posséde le capital nécessaire l application des sciences au processus de production.
La possession des moyens de production est un monopolo de la bourgeoisie que le prolétariat doit suporier pour quo la science puisse être utilisé récllcacnt pour les besoins généreux des hommes.
III LA NAISSANCE DES CICES DE LA NATUR3.
ce Le développement des sciencco ost parallelo la croissandes forcos productivos en général. Pendant la périodo précapitaliste du moyon age il était pas question do scionce, du moins au sens modorne de ce not. Nous avons remarqué plus haut que la science est par nature libre parceque ses résultats ne peuvent devenir objet échango et ne peuvent être détonus par uno classe dans son ensemble. Au moyen âge, où chaque forme seigneuriale travaillait la satisfaction de ses besoins propros, il ne pouvait de classe pour approprier la scienco en tant que classe. La seule classe, réollement constituéo on