30 clair que tation bien ordonnéc. Tout ordre, toute logique disparue et los scioncos de la nature no peuvent que balbutiur des mots incohérents. Il ensuit quo la méthaphysique doit attolcr essayer de pénétrer la structure de ce monde originel dont lc notre ost que le reflet. Point est besoin allor bion loin pour comprendre origine sociale de ces conceptions. La bourgeoisie ne comprend pas sa société ct no la domino pas avontago. Sa science sociale est qu un bégaiemont. Commo elle no pout avouer sa propre impuissance, cllc trouve sa justification de sa propre mal drosse et de son imporfection dans le monde lui même inage imparfaite un monde supèricur parfait.
Si cela est vrai de la société, la nature no pout faire exeption ut los momos conceptions onvahissent la philosophie de la nature. Il est tout fait la bourgeoisie no comprend pas sus propres méthodes de travail. Les spécialistos bourguois puuvent Strö des professionnols habiles, mais dans sa plus grande, la scionce ruste aussi désarméo qu un nouveau né, Cotto situation ne peut évidemmont aboutir qu uno stagnation couteuse.
Un développement ultérieur ut fécond ces sciences est possiblo quo si collos ci prennent conscience de la signification do lours propres méthodus. Cette tâche ne peut être acco:aplio quo per le prolétariat.
Le prolétariat a que faire de la métaphysiqyo, Il ne toit dans les rathématiques qu un outil du travail, ut il rulic lo caractère absolu de leur formulation la confiance que co travailleur mot dans sus instrumunts de travail. Il no voit dans lc succès de leur méthode qu une conséquonce de leur rectitude, provenant un but correctoment défini sans arrières pensées troublantes. Les mathématiquos ont un grand avenir dans les mains du prolétariat, non comne support uno croyance, mais comme outil de travail.
VIII LES SCIENCES DE LA NATURE ET LE COMUNISB.
Au cours des chapitres précédents nous avons cxaminer la position des sciences et leur développement au sein de la société capitalis to. Il nous rusto naintenant faire uno incurxion dans un domaine très vesto qui poso un inucnse problème. le rolo dos sciences dans la société communiste. Nous ne pouvons évidement pas prédire quelle route lo prolétariat dovra exactenort prendru. Nous pouvons pourtant essayer de brossur ossentiol du développement futur un utilisant los données que nous fourni lo passé. Il ve de soi que nous ne pouvons saisir ainsi que des traits gén mux, mais il est pas possiblo de pessur sous silonco un problème une telle importance pour le prolétariat.
Nous avons vu que dans les conditions capitalistes, les sciences sont déjà au service de la production. Mais cette rolation signifie, dans la société actuello, uno subordination de la science au capital, car celui ci détient tous les moyons nécessaires aux bosoins de celle ci. Cet état de fait appa raissait manifestoinnt dans le régiao foscisto ou la scienco