21 mo Tout comme autrefois la classe bourgeoiso, il lutte pour la domination de la société, mais sur des bases entièrement différentes. Il ne cherche pas se tratnsformer en classe dominante et exclusivo mais doit supprimor onscblc des classes. Son activité porte sur le monde réol qu il vout transformer. est pourquoi sa conception du ondo est matèrialiste. important est pas dans les sensations particulières, dans tel ou tol succès ou défaite, ni dans la douloureuse découverte de imperfection dos chosus terrestres, il so trouve dans leurs causes sociales que le prolétariat doit efforcer de supprimer. est la raison pour laquelle la philosophic de Dictzgon no part pas, comme celle do iach, une expérience individuello, mais de unité du cosmsos, du monde matériol réol que le prolétariat doit apprendre dissocior ot distinguor pour pouvoir agir officecoment.
La philosophic de Diutzzon est matérialisto commc colle do la bourgeoisie du début du XIXeme siècle, mais illu niost pas mécanicisto. Lu prolétariat doit voir per dolà los limitos do la société de classos ot par conséquont doit se rondro compte des limites historiques de toutos los tentativos de libération de humanité qui ont cu licu antèrieuromont. Point est besoin do croire on uno libération miraculouso, ce est qu un phantasme. point est besoin de se représenter la société commo une machine parfaito lancéc uno fois pour toutes sur uno routo bien trocéc. Lü proléteriat peut voir un la libération de homen la supprussion de la bestialité, une progression lonte vers le haut, una lutte où homme avanco la fois vers une nouvelle connaissancu ot uno nouvolle domination tant de la naturc ct de la société que de lui même. Avuc cotto conception do sa tâche il lui faut un autro point de vue pour abordor les lois de la nature otlles ci ne doivent plus ötre considérées comme des règles cbsoluos auxquollos la nature se soumet, pas plus que corre do sinplos schonas servant acttre de ordre dans nos penséos. Ni lo racérialisac bourgeois, ni le soni ide2lismo de Mach nu peuvent solvir armos dans la lutte du prolétariat qui se défend contro son entourago. Les lois de la nature ne pouvont Otro pour nous que oxprossion au degré auquel nous dorinons la natura, ct on même tomps Stre los moyens dc cette domination. Ellos no sont ni des constructions cachées une puissance superiuurc qu il faudrait arracher la nature pas plus qu olles no sont. DIS ponts aux âncs. Elles sont des outils ontro nos mains, dos instruments de la production.
Ellos nc sont absolues mais on perpétuel développeinent car tous nos instruments améliorent. Et, clozst parce qu ellus ne sont pas uniquomont, ou prusque, des créations de notre esprit, mais percuqucllos ancront profondòmont dans la réalité matériolle que explique le succés do lour application.
Il ost romarquable que los différentes conceptions liéos aux lois de la naturo ruflétant précisément los positions des diversos classes. Pour le théologion du foyen Age los lois do la turu sont expression de la volonté divine qui règle ordro du monde. Pour le bourgeois du début du XIXomo siècle, é