28 vcaux aspects.
Voilà en quoi les mathématiques sont un outil. Mais en quoi sont olles un meilleur outil qu uno représentation par un modè10 concrot. En quoi consiste la superiorité une for ule bstraite sur un tel modèle Est ce que la représentation concrète extmit pas une généralité de particularités et ne conduit cllc pas cette génémlité au ming diabsolu. est bien cntendu 10 cos. Mais en mêm terps le modèlc concret contient des propriétés dése. gréables, des particularités qui ont rien voir avec ce que on veut représenter. Prenons par exemplü lo cas de la lumière considérée sous ongle un nouvement ondulatoiro, conçu similzirement aux ondulations de la surf ce de eau. Colles ci ont pourtant une structure toute différente et abord en ce qu clles sont des ondulations do surface ut non espace. Bien qu il existe entre los deux un rapport cortain, ensemble du modèle doit, si on veut pou voir utiliser, Stre en accrd avec ensomble des propriétés représentor, et les deux typos oscilations doivent pouvoir être représentées par une en forule mathématique. Mais si est bien le cas un point de vue assuz généml, il existo des particularités, des différences entre le phénomène représenter et le modèle concrot. Ces partialarités du modèle ne constituent pas seulement un poids mort inutile mais assoz souvent un leurri qui nous entraino sur do faussos pistes. Ici nous retrouvons la conception do ach. Revenons l essentiel de sa critique. il on prenait finalement au modèle de représentation choisi par les tonistes du XIXene siècle. Même si sos conceptions rostaient izprécises ot obscuros, Mach présentatt pourtant que les sciencos ne peuvent que gegner se débamssur des poids morts inutiles, cn abandonnant los perticularités propres au modèle on cause, conservant que le fondamental do catte représentation, que essentiel de oxlication.
Le représentation per modèlos ost donc destinée disparai.
tre. Son caractère particulier est historiquement déterminé conme a montré Moch. Nouson avons un oxumple typique dans évolution do 10 théorie de la lumière. Noxton conceva. it la lesiero comme un mouvonent ce corpusculos is par une ce. Pour Huygens, était un mouvenant ondulatoire de éther. une comme autre de ces conceptions provenaient analogios avec autres phénomènes, et toutes les doux cherchaient expliquer les divers phénomènos lunincux. hypothèsc corpusculaire so heurtant la difficulté oxliquer les intorférences et la diffraction qui se produit lorsque la lumière frappe de petits obsta clos, la théorie ondulatoire la supplanta au XIXeme. Mais lorsque bien plus tard, on découvrit effet photo électrique, est dire ojection électrons hors un atome frappé par un rayon lumineux, il fallut rovenir une théorie corpusculaire, la théorie ondulatoire étant impuissante rendre compte un tel phénomène. Plank ot Enstein firent en quelque sorte une synthèse des deux théorios mais abandonnerent ontièrement toute tentativa de représenter la lurière par en ne sour