26. tituent los molécules de cus corps (quadrilateros, cubes, chaines muifiées, etc. Mach montre que espace do Van Hoff était qu uno hypothèse de travail et qu il différzit essentiellement de celui que nous apréhendons par nos sensations.
Ces dernières ne nous font connaitre que Trois dimensions, longueur, largeur, et hauteur, mais ce est qu une limitation inutile, come si Van Hoff y mocroche. Pourquoi ne pas augmenter arbitrạiremont le nombre de espco do représentation choisi par Van Hoff et ainsi le nombre de degrés de liberté donc de possibilités explication de son Hypothèse.
Si on se réfère au contenu réel de sa critique, force est de constater que Mach a prévu de manière remarquable lo développement de la physique moderne. Tous se passa denbord comme si hynothèso atomique se renforçait de plus en plus. Même si rapidement il ne fut plus possiblo de considérar los atomos comme insécablos, on en parvint pas moins créer un nouveau modèle analogue au système planètriro (un noyau lourd chargé positivemont, autour duquel tournent sur diverses trajectoires des parFinnlos plus légéres chargés négativenent. los olectrons. Ce mo dele vulno titait aloxoliquor nombre de propriétés des atones, Mais il devait être très rapideine nt critiqué parcequ il fallait attribuer l élection et son mouvement des propriété sans équivalent dans le monde notre échelle. Finaloment ce modèle général perdit toute signification et les physiciens finirent par on rien conscrvor, et ont adopté uno formulation mathématique qui ne correspond aucun modèle facilement représentable.
En co sons Mach avait raison, Bien que existence des atomes et de leurs constituants, noyaux ot électrons, soit prouvée sans aucun douto possible, il vriste entro cos divors constituants des rolations qui ont pas équivalent dans le monde macroscopique si bien que touto roprésentation par un modèle ost vouée la faillito. La seule roprésentation nous öst fournie par les thératiquos, outi abstrait mais efficace. Quelle est la raison profondo de cotte transforntion?
Les mathématiques ne se distinguont pas uniquement des autres méthodes observation parcequ lles sont adaptées la manipulation du quantitatif, mais par la rigucur avec laquelle elles mettent en branle activité de osprit humain. ellos permettent le passage du particulier au général. Le nombre par exemple représente une collection de deux unités identiques de importe quelle ospèce. Mais dans la réalité il y a pas deux choses récllement identiques, si bion que pour parler de deux nous devons déjà négligcr des particularités pour ne retenir que co qui est commun. Plus précisément, quand nous diune pomme plus unu pomme égale deux ponnes, abstraction qui est la base de ce calcul est encore nasquée par la référence aux pommes individuelles ot aux différences que ces doux fruits peuvent avoir en grandeur on qualité. Examinons maintenant la formule. 1 Dans cette formule non soulonent le caractère des unités est absoluencnt indifférent, nois bien plus elles sont considérées comme absoluement identiques, sans aucune restriction. Ainsi les mathématiques extraient le gén ral du particulier et élévent au rang absolu. Si on sons