18.
lisme La nécessité de restreindre activité au travail éducation devint une vertu. développer la conscience de classe des ouvriers îut considéré comme la plus essentielle de toutes les tâches révolutionnaires. Mais la vieille croyanca social démocrate que savoir est pouvoir était plus convaincante, car il y a pas de connexion directe ontre le savoir et son application. échec du capitalisme du laissez faire et la direction centraliste croissante de masses toujours plus larges travers la production capitaliste et la guerre accrurent intérêt intellectuel pour les domaines de la psychologie et de la sociologie négligés auparavant. Ces branches de la science bourgeoise servirent expliquer le désarroi de cette partie de la bourgeoisie exclue du jeu par des rivaux plus puissants et de cette partie de la petite bourgeoisie réduite au niveau existence rrolétarien pendant la dépression. ses premières étapes, le processus capitaliste de concentration de la richesse et du pouvoir était accompagné de la croissance absolue des couches bourgeoises de la société. Après la guerre, la situation changea, la dépression européenne frappa la fois la bourgeoisie et le prolét ariat et détroisit de façon générale la confiance dans le système et les indiv idus eux mêmes. La psychologie et la sociologie, cependant, furent non seulome nt expression du désarroi et de insécurité de la bourgeoisie, mais elles servirent en même temps le besoin une détermination plus directe qu il a été nécessaire dans les conditions une centralisation moindre. Ceux qui avaient perdu le pouvсir dans les luttes politiques qui accompagnèrent la concentration du capital aussi bien que ceux qui gagnèrent le pouvoir proposèrent une explication psychologique et sociologique de leurs échecs ou de lcurs succès complets. Ce qui était pour un le viol des masses était pour autre une vue nouvellement acquise qu il fal.
lait systématiquenent incorporer la science de exploitation et du gouvernement. au sujet de la nature intime des processus sociaux.
Dans la division capitaliste du travail, le maintien et extension des idéologies dominantes est la besome des couches intellectuelles de la bourgeoisie ot de la petite bourgeoisie. Cetto division du travail est naturellement déterminée plus par les conditions de classe existantes que par les besoins de production de la société complexe. Ce que nous savons, nous le savons au moyen une production capitaliste de connaissance. Mais comme il y en a pas autre, la façon prolétaricnne aborder tout ce qui est procluit par la science ct la pseudo science bourgeoise, doit toujours être critique.
Faire servir cette connaissance d autres tut que les buts capitalistes revient la nettoyer de tous ses éléments composants en rapport avec la structure de classe capitaliste. Il serait aussi faux qu il serait impossible de rejeter en gros tout ce qui est produit par la science bourgeoise. Cependant on ne peut aborder qu avec scepticisme. La critique prolétarienne compte tenu de nouveau de la division capitaliste du travail. est tout fait liritée. Elle a de réelle importance que sur les points où la science bourgeoise traite des rapports sociaux. Sur ce point, ses théories peuvent être vérifiées dans leur validité et leur signification pour les différentes classes et pour la société dans son ensemble. est là qu apparaît, alors, avec la vogue de la psychologie et de la sociologie, le besoin examiner les nouvelles découvertes dans ces domaines du point de vue critique des classes opprimées.
Il était inévitable que la vogue de la psychologie pénètre dans le mouvement ouvrier. Mais la ruine complète de ce mouvement se révéla une fois de plus dans ses tentatives utiliser les nouv elles théories de la psychologie et de la sociologie bourgeoise pour un examen critique de ses propres théories au lieu utiliser la théorie marxiste pour critiquer la nouvelle pseudo science bourgeoise. Derrière cette attitude se cachait une méfiance croissante l égard du marxisme dûe aux échecs des révolutions allennande et russe. Derrière ce fait