BolshevismCommunismCommunist PartyLeninMarxismOpportunism

16.
Selon opinion de Ruhle, une révolution prolétarienne était possible qu avec la participation consciente et active de larges masses prolétariennes. Ceci de nouveau présupposait une forme organisation qui ne put pas être gouvernée en haut, mais fut déterminée par la volonté de ses membres. organisation usine et la structure de Union Générale du Travail prévien. draient, pensait il, un divorce entre les intérêts organisation et les intérêts de classc; cela préviendrait la naissance uno puissante bureaucratie servie par organisation au licu de la servir. Cela préparait, en fin de compte, les ouvriers s ciparer des industries et les gérer cn accord avec leurs propres besoins et ainsi préviendrait on érection un nouvel état exploitation, Le Parti Ouvrier Communisto so rallia ses idées générales et ses organisations usine étaient de colles qui étaient accord avec Ruhle. Mats le parti maintenait que, ce niveau de développement, organisation usine clle seule ne pouvait garantir une politique révolutionnaire clairement délimitée. Toutes espèces de gens voudraient entrer dans ces organisations; il y aurait aucune méthode de sélection convenable, et des ouvriers sans culture politique déterminergicnt le caractère des organisations qui ainsi ne seraient pas capables de se mettre au niveau des exigences révolutionnaires du jour. Ce point fut démontré par le caractère relativement arriéré du mouvement des Conseils de 1918. Le Parti Ouvrier Communiste soutenait que les révolutionnai.
res formes au marxisme et la conscience de classe, quoique appartenant des organisations usine, devraient en même temps être réunis dans un parti part pour sauvegarder et développer la théorie révolutionnaire et, pour ainsi dire, surveiller les organisations usine pour les empêcher le sortir du droit chemin.
Le Parti Ouvrier Communiste vit dans la position de Ruhle une espèce de déception cherchant refuge dans une nouvelle forme utopisme. Il soutint que Ruhle généralisait simplement expérience des vieux partis et il insista sur le fait que le caractère révolutionnaire de organisation du Parti Ouvrier Communiste était le résultat de sa propre forme de Parti. Il rejetait les principes centralistes de Lénine, mais il insistait pour garder le parti restreint afin qu il soit affranchi de tout opportunisme. Il y avait autres arguments pour soutenir idée un parti. Certains se référaient des problèmes internationaux, autres se rapportaient des ou estions illégalité, mais tous les arguments ne réussirent pas convaincre Ruhlo et ses partisans. Ils voyaient dans le parti la perpétuation du principe dos chefs et des masses, la contradiction entre le parti et la classe, et craignaient une reproduction du bol.
chevisme dans la Gaucho allemande.
Aucun des deux groupes ne put ifier sa théorie. histoire les dépassa tous les deux, ils argumentaient dans le vide. Ni le Parti Ouvrier Communiste, ni les deux Unions Ouvrières Générale ne dépassèrent leur situation de sectes ultra gauches. Leurs problèmes intérieurs devinrent tout fait artificiels, car il y avait pas en fait de différence entre le Parti Ouvrier Communiste et Union Ouvrière Générale. Malgré leurs théories, les partisans de Ruhle exercèrent pas non plus leurs fonctions dans les usinos. Iles deux unions abandonnèrent aux mêmes activités. partir de là toutes lcurs divergences théoriques eurent aucun sens pratique.
Ces organisations débris des tentatives prolétariennes de jouer un rôle dans les soulèvements de 1918 essayèrent appliquer leurs expériences au sein un développement qui orientait de façon conséquente dans le sens opposé celui où ces expériences avaient pris naissance réellcment. Le Parti