19. te. Sur autros, cu contraire, ils sont en opposition compléter Du mondo dos sensations Mach extrayait ses éléments qu ils classcit in combinaisons sù succédant toujours dans le même ordr. formant des complexos zuquels so rattachent notre concoption des objets matèriols extérieurs. Il démontroit identité de princip e de tous les éléments et plus particulièrement de couz qui sont en rapport avec le moi üt do ceux, les autres qui forme rt li pondo extériour. Il faisait ainsi lo promier pas sur le chin difficilu qui en fin do compte le conduisit affirmer unité du cosinos. Pourtant le mondu dos sons tions soul ost réalité et ciest lui qui vst une unité, puisqu il y a pas de différorce du principe catre nos divorsus sunsations, ou ce que nous désignons du nom imprössions sunsoriölles. Le mondo extèricur domcuru une hypothès, féconde il cst vmi, si nous la rulions aux oxigencos de économie du ponsée, mais qui ost qu un moyen pour mettre de ordre dans le monde réol. colui des sensations.
Diötzson, ou contrairu, prend commo point do départ existonco un mondo auctèri réci ut identité de princine de ce qui vxiste. Lo cosmos agit conne unité sur nos suns qui nous mottont on rolation Vic lui. Pour nous orienter dans le monde, il nous faut apprunaru distinguor et coci no peut se fairo qu on rcnonçant aux détails on no roton nt dans la réalité que co qui est important pour nous. important est co qui revient régulièrement, co quo dus chas, snifférontos ont on commun. Aina.
si formons nous nos conceptions. nous vztryons de la réalité.
do la particularité, ce qui pour nous ust la similitudy, 19 généralité. Cotte opértion nous copolons généroloment quoique de minière inoxacto abstraite. Voilà communt so forncnt nos pronicrs concepts. Ils sont image dos similitudos dans les phénomènes du cosuos. Au fur jt musuro que notro technique progrussü, que nait le besoin de oriontor plus oxectement dans notro untourage, notre pouvoir do distirction approfondit et nos concopts co divisont ot so raffincnt, Ius prunières représentations quo su fait hommo sont ccll. do concupts globaux.
Vionnant plus tard un stado de devlopponcnt, lus distinctions plus raffinévs. Nous comunçons par le concept arbro. puis, plus tard, nous distinguons los diversos uspèces, ct ce est que lo profossicrol qui distinguo untro les diverses V2 riétés. Cutte distinction des propriétés particulièros, par cxorrole la couleur vortc, 2pp2rtiont un ståtdc plus tardif que le corcept arbro, rulié un compluxo global. on atteint une abstraction plus pousséu. Cotto démarche ost entièrement l opposé de celle do iach. Colui ci construit, partir de sunsations, l aido cu sos éléments. los comploxos qui sont la représentation des chosus matèriólles et il on déduit unité de ce qui exisio. Dictzzur, eid contraire, port do la connaissance de cetto unité pour umviquer la formation des concepts, abstraction qui ve, du ginéral au particulier. Pour Dietzgen, il y a, dès lu début, purcuption it représentation des complexos ct ce est qu au durnir st20. du développement qu apparaissent los éléments. au momunt où les moyens investigation sont los plus raffinés. En oxazinant le développement intollectuol do