18 un svons qu une connaissance indirecte par les improssions que reçoivent nos sens. Ces impressions, cos sunsations de chalvur, do froid, de couleur, de son, de foroc, de duruté, etc.
voilà pour nous la sculü réalité. Ellos forent los éléments où sont issu tout notre savoir. est en so coabinint les uns avec los autros, par uxemplo la sonsation du duroté avec celle de couleur, cello do son avuc colli du toucher ou de forme, otc quc cos éléments nous pürmettant de fornor lo concept un cbjet. Ce ost pas la lonpe que nous porouvons, pais sa lumièIo et sa chalour. ce est pas la table, mais se forme ut so duruté. cu :st was cau, tais sa fluidité, sa fraicheur et se sa Vuur. Cu no sont 225 lus chosus qui sont pour nous la réalité objectiv, puisque, par la communication zvuc les autres, nous savons que nous avons lus mûres sensations qu oux. Tel est on résumé lc point de vue de Woch.
On voit quel point la conception de Mach bouleversait celle du matèriolisme. Il va de soi que ce bouleversement ébranlait également le sons que on attachait aux lois naturelles.
Si un objet est pour nous qu uno hypothèse qui résultu do sensations so déroulant toujours dans le même ordre, alors les lois de la natura no peuvent être rien autre qu uno uxpéricnce ordonnés. Ce qui se répète toujours de la même manièro, nous le voyons comme obéissant une loi absolue. les lois de la naturo mettent de ordre dans le chaos inévitablo de la pensée. Ce sont des formulus ramassés décrivant des successions événements bicn ordonnées. Bien entendu notre expériunco est limitée et en étenduo ot on précision. de plus la naturo no so répète jamais tout fait de la même façon, si bien que les lois de la naturo ne pouvont prétondre unu validité absolue. il y a pas de loi absolue laquelle la nature devrait obéir, il y a quo dus règles qui nettent du ordre dans nos idéus. Il ost important que nous puissions formulär de telles règles, si remassées dans lur formulation ut pourtant si vastes. est là oxigence de écono io du la perséu grace laquelle les lois de la naturo sont satisfaisantos. Mais cos lois rustent des créations de homme ayant qu uno validité relativo en ce qui concurnu la naturu. Dllus sont valablos que pour une phase déturminée do notre connzissance. Si cullu ci accroit vllos dovront tro améliorées.
Los écrits de linch sont uno grande inportance pour qui vout comprendre le développement dus sciuncus modernos. Ce sont eux qui donneront la physique le courage de attaquer au concopt de loi 2bsoluc, do ronvursur les vieilles lois de la naturo ct de formulur de nouvunux principcs généraux. Pour pouvoir cxpliquur cetto nouvelle direction priso par les scicncgs, il nous faudra revenir sur le développement dus rapports sociaux avant exposer notre propre point de vuo.
On a souvent cru découvrir une rexion entre la philosophie de la naturo de Mach et los idéus de Josef Dictzgon, qui sont dévoloppées dans son ouvrage essuncu du travail cérébral de hommo. Les deux points de vue accordent on uffct sur certains points, comme par oxumple leur caractère relativis