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autres pays par des moyens militaires. Suivre un cours nationaliste, en dépendant de la question des alliances, une part, et, en même temps unifier Allemagne, une fois de plus, pour une guerre de libération de oppression étrangère, était hors de question. la raison en est que les couches sociales, que les naticnaux révolutionnaires devaient gagner leur cause étaient pré: cisément les gens qui mettaient fin la guerre avant la défaite complète des armées allemandes pour prévenir extension du bolchevisme. Incapables de devenir les maitres du capitalisme intematicnal, ils avaient préféré se maintenir comme ses meilleurs serviteurs. Cependant, il y avait pas moyen de traiter les questions allemandes intéricures sans y, impliquer une politique extérieure définie. La révolution allemande radicale était ainsi battue avant même de pouvoir survenir, battue par son capitalisme propre ct le capitalisme mondial.
Le besoin de considérer sérieusement les rapports internatinnaux ne vint jamais la Gauche allemande. Ce fut, peut être, la plus nette indicatinn de son neu importance. La question de savnir que faire du pruvnir politique une fois conquis ne fut pas non plus concrètement soulevée. Personne ne semblait croire que ces questions auraient recevoir une réponse. Liekknecht et Luxembours étaient sûrs qu une langue périnde de lutte de classes se dressait devant le prnlétariat allemand sans aucun signe de victrire rapide. Ils voulaient on tirer le meilleur parti et préconisaient le retour au travail parlementaire et syndical. Cependant dans lnurs activités antérieures, ils avaient déjà outrepassé les frontières de la politique bourgeoise. ils ne pouvaient plus retourner aux prisons de la tradition. Ils avaient rallié autour eux élément le plus radical du prolétariat allemand qui était résolu maintenant considérer tout combat carne la lutte finale contre le capitalisme. Ces ouvriers considéraient la révolution russe en rapport avec leurs propres besoins et leur propre mentalité. ils se souciñent moins des difficultés dissimulées dans avenir que de détruire le plus possible des forces du passé. Il y avait que deux voies cuvertes aux révolutionnaires, ou bien tomber avec les forces dont la cause était perdue avance, ou bien retourner au troupeau de la démocratie bourgecise et accomplir le travail social au service des classes dominantes. Pour le vrai révolutionnaire, il y avait évidemment qu une seule voie. tomber avec les cuvriers combattants. est pourquoi Eugène Levine parlait des révolutionnaires comme une personne morte en congé. et est pourquni Rosa Luxembourg et Karl Licbknecht allèrent la mort presque comme des somnambules. est par pur accident qu Otto Ruhle et beaucoup autres de la Gauche résolue restèrent vivants.
IV Le fait que la bourgeoisie internationale put terminer sa guerre sans rien de plus que la perte temporaire de affaire russe détermina histoire entière de après guerre dans sa chute vers la seconde guerre mondiale. Rétrospectivement, les luttes du prolétariat allemand de 1919 1923 apparaissent ccrame des frictions secondaires qui accompagnèrent le processus de réorganisation capitaliste qui suivit la crise de la guerre. Mais il y a toujours eu une tendance considérer les sous produits des changements violents dans la structure capitaliste comme des expressions de la volonté révolutionnaire du prolétariat. Les optimistes radicaux toutefois sifflaient simplement dans la nuit.
La nuit est une réalité assurément et le bruit est encourageant, mais cependant cette heure tardive, il est inutile de prendre cela trop au sériax.
Aussi impreßsionnante soit histoire Otto Ruhle en tant que révolutionnaire pratique, aussi exaltant que ce soit de rappeler les journées action prolétariennes, Dresde, en Saxe, en Allemagne meetings, manifestations, grèves, combats de rues, discussions ardentes, les espoirs, les craintes, les déceptions, amertume de la défaite et les souffrances de la prison et de la mort cependant, on ne peut tirer que des leçons négatives de toutes ces tentatives.