en allx arrive un degré autant plus haut sur échelle de évolution du monde organique, que se glissent entre effet et le contentement un élément spirituel, une inipulsion et une volonté. Dans évolution humaine, une conscience toujours plus dominante arrive ceci. de temps en temps, la misère enflaninie fortement les instincts originaux comme line volonté spontanée. plus souvent le processus effectue par intermédiaire de esprit humain et travaille par la pensée, idée, la volonté consciente. Le besoin, que on sent sans intermédiaires et le milieu observé agissent sur espril hunain et évoquent dans celui ci des pensées, des buts. ces derniers pellent le corps en action et causent les actes.
Pour la conscience des hommes action eux mêmes, la pensée, idée sont la cause de leurs actes, le plus souvent ils ne se demandenl pas où vient la pensée. Ainsi la description idéologique de histoire explique les événements historiques par les idées humaines. Ceci est pas absolument faux, mais toujours incomplet, cette explication arrêle moitié chemin.
Le matérialisme historique relourne causes où proviennent ces idées. les besoins sociaux qui sont déterminés par les formes de la société, formes les plus compliquées de la volonté de vivre humaine. Les cuvres historiques des allteurs marxistes ont ainsi jeté une brillante lumière sur les grands événenients de histoire. Et cependant elles ont soulvent fait naître une conception fausse ilu matérialisme historique, alors qu elles ont avec force accentué les causes matérielles, économiques des révolutions, intellectuel par opposition, croit qu il doit, au contraire, rester sur son opinion. il est certes incontestable que les idées ont xine très grande influence. Il ne voit pas que explication du niatérialisme historique éclaircissant rapidement, santé par dessus ces idées, pour relier solidement la cause fondamentale et le résultat final et a rien fait autre que expliquer les idées impulsives par leurs causes sociales. Si, par exemple, la conreption antique expliquait la révolution francaise par amour de la liberté chez la bourgeoisie progressive, qui était Tébarassée de absolutisme et de la no.
Slesse, et si le matérialisme historique explique que la cause de cette révolution est le besoin un état bourgeois pour le capitalisme en progrès, il faut alors lire cette dernière phrase ainsi, une manière plus détaillée. Le capitalismie en bourgeons a éveillé dans les masse bourgeoises la conscience de la nécessité une liberté politique et économique, a enflammé un puissant enthousiasme POLI!
ces idéaux et les a ainsi poussés une action révolutionnaire. La pensée, idée est interniédiaire entre effet des facell a